Le président du Conseil local de Tripoli a appelé les habitants de Tripoli à mener une grève générale jusqu’à ce que tous les groupes armés quittent la ville. Les militants ont également appelé à manifester devant les quartiers généraux des milices.
Ces appels font suite au lourd bilan – 43 morts et des centaines de blessés, dont des enfants de 11 ans – enregistré le 15 novembre lors d’une manifestation pacifique et lors des affrontements qui ont suivi dans le quartier de Gharghour, à Tripoli.
"Les autorités libyennes doivent garantir la protection des manifestants qui descendront dans les rues, face à la violence des milices. Si elles ne le font pas, on pourrait assister à une nouvelle tragédie", a souligné Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
Ces appels font suite au lourd bilan – 43 morts et des centaines de blessés, dont des enfants de 11 ans – enregistré le 15 novembre lors d’une manifestation pacifique et lors des affrontements qui ont suivi dans le quartier de Gharghour, à Tripoli.
"Les autorités libyennes doivent garantir la protection des manifestants qui descendront dans les rues, face à la violence des milices. Si elles ne le font pas, on pourrait assister à une nouvelle tragédie", a souligné Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.