Environ 150 autres étaient bloqués à l'aéroport international Rafic Hariri à Beyrouth.
Ces réfugiés étaient arrivés à Beyrouth sur des vols en provenance de Syrie, avec l'intention de poursuivre jusqu'en Turquie. Leur départ, prévu le 7 janvier, n’a pas pu avoir lieu, deux vols de la compagnie Turkish Airlines ayant été annulés à la veille de nouvelles réglementations mises en place par les autorités turques en matière de visas pour les réfugiés syriens, qui sont entrées en vigueur le 8 janvier et limitent l'entrée en Turquie.
"En renvoyant de force plus de 100 réfugiés en Syrie, le gouvernement libanais a fait un pas de plus vers l’ignominie et les met en danger de mort. C'est une violation flagrante des obligations internationales du Liban, qui est tenu de protéger tous les réfugiés fuyant les violences et les persécutions en Syrie. Le gouvernement doit renoncer à expulser d’autres réfugiés syriens", a déclaré Sherif Elsayed Ali, directeur du programme Droits des réfugiés et des migrants à Amnesty International.
Ces réfugiés étaient arrivés à Beyrouth sur des vols en provenance de Syrie, avec l'intention de poursuivre jusqu'en Turquie. Leur départ, prévu le 7 janvier, n’a pas pu avoir lieu, deux vols de la compagnie Turkish Airlines ayant été annulés à la veille de nouvelles réglementations mises en place par les autorités turques en matière de visas pour les réfugiés syriens, qui sont entrées en vigueur le 8 janvier et limitent l'entrée en Turquie.
"En renvoyant de force plus de 100 réfugiés en Syrie, le gouvernement libanais a fait un pas de plus vers l’ignominie et les met en danger de mort. C'est une violation flagrante des obligations internationales du Liban, qui est tenu de protéger tous les réfugiés fuyant les violences et les persécutions en Syrie. Le gouvernement doit renoncer à expulser d’autres réfugiés syriens", a déclaré Sherif Elsayed Ali, directeur du programme Droits des réfugiés et des migrants à Amnesty International.