La situation est si catastrophique que certains d’entre eux choisissent de retourner en Syrie pour se faire soigner.
Le rapport "Agonizing Choices: Syrian refugees in need of health care in Lebanon" met en évidence de graves carences dans l’offre des services médicaux proposés aux réfugiés. Certains, y compris des personnes qui avaient besoin de soins d’urgence, se sont parfois vu refuser l’admission à l’hôpital.
"Au Liban, il est extrêmement difficile pour les réfugiés syriens de se faire hospitaliser ou de recevoir des soins spécialisés, et cette situation est encore aggravée par l’insuffisance criante de fonds internationaux. Les souffrances de ces personnes sont la conséquence directe du manque d’empressement dont fait preuve la communauté internationale pour financer entièrement le programme d’aide des Nations unies au Liban", a déclaré Audrey Gaughran, directrice du programme Thématiques mondiales chez Amnesty International.
Le rapport "Agonizing Choices: Syrian refugees in need of health care in Lebanon" met en évidence de graves carences dans l’offre des services médicaux proposés aux réfugiés. Certains, y compris des personnes qui avaient besoin de soins d’urgence, se sont parfois vu refuser l’admission à l’hôpital.
"Au Liban, il est extrêmement difficile pour les réfugiés syriens de se faire hospitaliser ou de recevoir des soins spécialisés, et cette situation est encore aggravée par l’insuffisance criante de fonds internationaux. Les souffrances de ces personnes sont la conséquence directe du manque d’empressement dont fait preuve la communauté internationale pour financer entièrement le programme d’aide des Nations unies au Liban", a déclaré Audrey Gaughran, directrice du programme Thématiques mondiales chez Amnesty International.