Les manifestants échauffent leurs voix. Photo (c) PR
A Paris, jeudi 7 juin 2018, des centaines de manifestants ont fait entendre leur colère dans les rues. Ils dénoncent un système de sélection qui creuse les inégalités sociales et géographiques, laissant de côté un grand nombre de jeunes.
Deux étudiantes, qui désirent rester anonymes, expliquent leur ressenti: "Dans les quartiers populaires, notamment dans le 93, il y a eu beaucoup de refoulés ou de personnes mises sur listes d'attente. Ça montre bien la discrimination qu'il y a avec Parcoursup".
"On a la prépa, on a les BTS, on a ce qu'il faut de sélectif en France. On n'a pas besoin d'empêcher des jeunes de réussir à la fac. C'est absurde".
"Actuellement les universités sont mixtes, c'est ce qui est bien. Il n'y a pas besoin d'avoir un bac mention bien ou très bien pour montrer qu'on est compétents. Parce qu'une fois qu'on est épanoui dans une filière on va avoir de meilleures notes".
Deux étudiantes, qui désirent rester anonymes, expliquent leur ressenti: "Dans les quartiers populaires, notamment dans le 93, il y a eu beaucoup de refoulés ou de personnes mises sur listes d'attente. Ça montre bien la discrimination qu'il y a avec Parcoursup".
"On a la prépa, on a les BTS, on a ce qu'il faut de sélectif en France. On n'a pas besoin d'empêcher des jeunes de réussir à la fac. C'est absurde".
"Actuellement les universités sont mixtes, c'est ce qui est bien. Il n'y a pas besoin d'avoir un bac mention bien ou très bien pour montrer qu'on est compétents. Parce qu'une fois qu'on est épanoui dans une filière on va avoir de meilleures notes".