L’Église catholique face à ses vieux démons
De mémoire d’homme, jamais un religieux et encore moins de l’Église judéo-chrétienne n’a fait autant l’unanimité tant chez les croyants que les non croyants. Depuis son élection en mars 2013, la popularité de Jorge Mario Bergoglio, le pape François, ne cesse de monter et de ravir le cœur de tous. Il est à ce jour l’une des personnalités les plus appréciées également par les Français avec 86% de bonnes intentions.
Et pourtant que de problèmes essuyés par l’Église catholique: perte des vocations, le célibat et la pédophilie de certains prêtres... En effet, les nombreuses affaires de pédophilie et d’homosexualité dans le clergé catholique dans les années 1960, 1970 et 1980 ont profondément marqué les consciences. L’impopularité de la hiérarchie catholique et de tout le corps religieux a créé un effet de perte de vocation chez les jeunes adultes qui voulaient s’orienter vers la prêtrise.
Les affaires de pédophilie et de blanchiment d’argent sous le règne de son prédécesseur Josef Ratzinger (Benoit XVI) ont fait polémique et écorné son image. Face à toutes ses dérives et attaques, l’Église catholique conservatrice en a souffert. L’élection de Jorge Mario Bergoglio mais surtout sa popularité a redonné un espoir à tous.
Et pourtant que de problèmes essuyés par l’Église catholique: perte des vocations, le célibat et la pédophilie de certains prêtres... En effet, les nombreuses affaires de pédophilie et d’homosexualité dans le clergé catholique dans les années 1960, 1970 et 1980 ont profondément marqué les consciences. L’impopularité de la hiérarchie catholique et de tout le corps religieux a créé un effet de perte de vocation chez les jeunes adultes qui voulaient s’orienter vers la prêtrise.
Les affaires de pédophilie et de blanchiment d’argent sous le règne de son prédécesseur Josef Ratzinger (Benoit XVI) ont fait polémique et écorné son image. Face à toutes ses dérives et attaques, l’Église catholique conservatrice en a souffert. L’élection de Jorge Mario Bergoglio mais surtout sa popularité a redonné un espoir à tous.
Une popularité qui rehausse l’aura des catholiques
Certes, le pape François n’est ni réformateur ni progressiste mais il marque son pontificat par sa dévotion à partager la condition des pauvres et en menant une vie d'ascète. Cet acte séduit tout le monde et même les médias. Le Time magazine fait de lui "la personnalité de l’année 2013" succédant à Barack Obama.
L’affection que lui portent les gens se traduit par une forte présence à tous les événements associés à sa personne. Le service de communication du Vatican estime à plus de 6 millions de présences à toutes les manifestations en sa présence. A titre de comparaison le pape François en seulement dix mois de pontificat a attiré plus de personnes que son prédécesseur Benoit XVI et même que l’emblématique Jean Paul II en seulement quelques mois soit trois fois plus de fidèles. Beaucoup voient en lui un rassembleur et la personne qui va donner un nouveau souffle à l’Église catholique et à sa jeunesse. Sa différence se traduit aussi dans son approche quotidienne de sa vie. Il refuse de loger dans les appartements pontificaux et de passer ses vacances à Castel Gandolfo, la maison de vacances des papes. Même s’il porte un message de collégialité qui est sa marque de fabrique, il ne fait pas l’unanimité sur tous les continents.
En plus de lui reprocher le fait qu’il rabaisse la fonction pontificale, diverses voix prétendent que le Vatican montrerait des signes d’agacement face à sa renommée qui dépasse les frontières catholiques. Que les Américains lui reprocheraient son instruction et ses critiques naïves sur le monde de la finance. Beaucoup attendent ses positions sur les grandes questions sociétales: le mariage homosexuel, le célibat des prêtres et le port des préservatifs chez les chrétiens catholiques…
Mais au delà de toutes ses attaques, le pape François, comme le bon berger marche résolument vers l’agrandissement de sa foi et celle des chrétiens de tous les pays. L’histoire retiendra également qu’en 2013 l’Église catholique a eut deux papes, du jamais vu!
L’affection que lui portent les gens se traduit par une forte présence à tous les événements associés à sa personne. Le service de communication du Vatican estime à plus de 6 millions de présences à toutes les manifestations en sa présence. A titre de comparaison le pape François en seulement dix mois de pontificat a attiré plus de personnes que son prédécesseur Benoit XVI et même que l’emblématique Jean Paul II en seulement quelques mois soit trois fois plus de fidèles. Beaucoup voient en lui un rassembleur et la personne qui va donner un nouveau souffle à l’Église catholique et à sa jeunesse. Sa différence se traduit aussi dans son approche quotidienne de sa vie. Il refuse de loger dans les appartements pontificaux et de passer ses vacances à Castel Gandolfo, la maison de vacances des papes. Même s’il porte un message de collégialité qui est sa marque de fabrique, il ne fait pas l’unanimité sur tous les continents.
En plus de lui reprocher le fait qu’il rabaisse la fonction pontificale, diverses voix prétendent que le Vatican montrerait des signes d’agacement face à sa renommée qui dépasse les frontières catholiques. Que les Américains lui reprocheraient son instruction et ses critiques naïves sur le monde de la finance. Beaucoup attendent ses positions sur les grandes questions sociétales: le mariage homosexuel, le célibat des prêtres et le port des préservatifs chez les chrétiens catholiques…
Mais au delà de toutes ses attaques, le pape François, comme le bon berger marche résolument vers l’agrandissement de sa foi et celle des chrétiens de tous les pays. L’histoire retiendra également qu’en 2013 l’Église catholique a eut deux papes, du jamais vu!