Le 1er octobre 2015, le gouvernement des Maldives a déclaré qu'il rejetait la décision du Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire, qui doit être communiquée officiellement à Mohamed Nasheed. On ne connaît pas encore la décision complète, mais selon des éléments rendus publics par le gouvernement, le Groupe de travail critique l'incarcération "arbitraire" de Mohamed Nasheed en mars 2015.
"Le procès de Mohamed Nasheed était une imposture motivée par des considérations politiques et une parodie de justice, du début à la fin. L'érosion de l'indépendance judiciaire entraîne les Maldives sur la pente glissante de la répression politique, sans aucun contrôle des mesures exercées contre les opposants", a déclaré David Griffiths, directeur des recherches pour l'Asie du Sud à Amnesty International.
"Le procès de Mohamed Nasheed était une imposture motivée par des considérations politiques et une parodie de justice, du début à la fin. L'érosion de l'indépendance judiciaire entraîne les Maldives sur la pente glissante de la répression politique, sans aucun contrôle des mesures exercées contre les opposants", a déclaré David Griffiths, directeur des recherches pour l'Asie du Sud à Amnesty International.