Quentin Tarantino a explosé le Box-office France avec Les Huits Salopards. Réutilisation autorisée.
L’incontournable Quentin Tarantino a fait un retour en salles remarqué ce mercredi 6 janvier avec son dernier film "Les Huit Salopards". Juste après "Django Unchained", c’est un western atypique que le cinéaste a rendu public après plus de trois ans de travail. Public mais averti puisque le film est interdit aux moins de 12 ans. On s’en doutait, le réalisateur de "Kill Bill" et "Inglourious Bastards" n’allait pas abandonner sa passion pour la violence aussi facilement. De bonnes vieilles habitudes comme la présence d’un de ses acteurs fétiches, Samuel L. Jackson, présent dans "Pulp Fiction", "Jackie Brown", "Kill Bill vol. 2" et "Django Unchained". On retrouve également Tim Roth, qu’on a pu voir dans "Reservoir Dogs", "Pulp Fiction" et "Groom Service". Michael Madsen avait quant à lui joué dans "Reservoir Dogs", les deux "Kill Bill" et "Hell Ride" (produit par Tarantino).
Toute comme pour "Django Unchained", l’histoire concerne des chasseurs de primes, plus précisément huit truands, prêts à tout pour remporter la mise. Une somme convoitée qui reviendra à celui qui mènera la dangereuse criminelle Daisy Domergue à la ville de Red Rock.
Tarantino a de nouveau misé sur une bande son déterminante et a su instaurer une tension constante notamment grâce à la musique d'Ennio Morricone. Le cinéaste nous laisse trois heures pour détester et nous attacher à ces Huit Salopards dans cet univers glacial qui incite à la paranoïa. Western ou film d’horreur, une chose est sûre, être emporté dans ce huis-clos a de quoi faire peur…
Toute comme pour "Django Unchained", l’histoire concerne des chasseurs de primes, plus précisément huit truands, prêts à tout pour remporter la mise. Une somme convoitée qui reviendra à celui qui mènera la dangereuse criminelle Daisy Domergue à la ville de Red Rock.
Tarantino a de nouveau misé sur une bande son déterminante et a su instaurer une tension constante notamment grâce à la musique d'Ennio Morricone. Le cinéaste nous laisse trois heures pour détester et nous attacher à ces Huit Salopards dans cet univers glacial qui incite à la paranoïa. Western ou film d’horreur, une chose est sûre, être emporté dans ce huis-clos a de quoi faire peur…