Logo des Assises de l'éducation du Sénégal
Trois décennies après les États généraux de l’Éducation et de la Formation (EGEF), le gouvernement du Sénégal décide d’organiser des Assises de l’Éducation. Il s’agit de permettre, à la communauté éducative dans sa diversité et sa pluralité et dans une démarche inclusive, d’être encore au chevet de l’Éducation et de la Formation pour "un diagnostic sans complaisance". Celles-ci doivent ainsi "favoriser les consensus sur les politiques et les stratégies de développement du secteur et créer les conditions d’une pacification de l’espace scolaire et universitaire de façon durable" selon les termes de référence.
Ainsi, toutes les familles d’acteurs sont appelées à s’accorder d’une part sur la centralité de l’élève en acceptant de consentir les efforts qu’une telle option induit pour sortir des crises récurrentes, et de l’autre sur les rôles et responsabilités des différents acteurs. Ceci pour partir sur des bases nouvelles et de permettre ainsi à notre pays d’atteindre l’émergence souhaitée par tous. Le système éducatif à inventer devra être le reflet de nos valeurs culturelles tout en s’ouvrant à la modernité fondée dans une large mesure par la science et la technologie.
Les assises devront prioritairement répondre à la vision de la lettre de politique générale pour le secteur de l’Éducation et de la Formation qui exige la mise en place "d’un système d’éducation et de formation, équitable, efficace, efficient, conforme aux exigences du développement économique et social, plus engagé dans la prise en charge des exclus et fondé sur une gouvernance inclusive, une responsabilisation plus accrue des collectivités locales et des acteurs à la base".
Ce pari est à la portée des acteurs notamment ceux des régions largement impliquées dans des comités régionaux.
Ainsi, toutes les familles d’acteurs sont appelées à s’accorder d’une part sur la centralité de l’élève en acceptant de consentir les efforts qu’une telle option induit pour sortir des crises récurrentes, et de l’autre sur les rôles et responsabilités des différents acteurs. Ceci pour partir sur des bases nouvelles et de permettre ainsi à notre pays d’atteindre l’émergence souhaitée par tous. Le système éducatif à inventer devra être le reflet de nos valeurs culturelles tout en s’ouvrant à la modernité fondée dans une large mesure par la science et la technologie.
Les assises devront prioritairement répondre à la vision de la lettre de politique générale pour le secteur de l’Éducation et de la Formation qui exige la mise en place "d’un système d’éducation et de formation, équitable, efficace, efficient, conforme aux exigences du développement économique et social, plus engagé dans la prise en charge des exclus et fondé sur une gouvernance inclusive, une responsabilisation plus accrue des collectivités locales et des acteurs à la base".
Ce pari est à la portée des acteurs notamment ceux des régions largement impliquées dans des comités régionaux.
Une thématique riche et variée
Les commissions, lancées le 15 avril, vont ainsi plancher sur les grandes orientations du système à savoir:
• Les finalités et orientations du système d’éducation et de formation: type d’école, type d’homme à former, principes directeurs, valeurs, structures à promouvoir, …
• le financement de l’éducation
• la gouvernance,
• La qualité et l’équité
• la formation professionnelle, l’apprentissage et le marché du travail
• les enseignants
• le dialogue social et la stabilité du système.
Ces consultations nationales sur l’Éducation qui se font à travers une démarche locale et nationale se poursuivront jusqu’au mois de juin 2014.
• Les finalités et orientations du système d’éducation et de formation: type d’école, type d’homme à former, principes directeurs, valeurs, structures à promouvoir, …
• le financement de l’éducation
• la gouvernance,
• La qualité et l’équité
• la formation professionnelle, l’apprentissage et le marché du travail
• les enseignants
• le dialogue social et la stabilité du système.
Ces consultations nationales sur l’Éducation qui se font à travers une démarche locale et nationale se poursuivront jusqu’au mois de juin 2014.