Dans le cas du virus H1N1, la transmission fonctionne dans les deux sens, aussi bien de l’Animal vers l’Homme que de l’Homme vers l’Animal.
L’OMS, la FAO et l’OI (Organisation mondiale de la santé animale) réfléchissent à la création d’un réseau d’épidémio-surveillance spécifique au virus H1N1 chez l’animal. L’Afssa, en collaboration avec l’Institut Pasteur, vient de mettre au point un nouveau test de diagnostic chez l’animal.
Lire aussi l'article dans le Canoë en cliquant sur l'image: "Un chat et quelques furets ont contracté de leur maître le virus de la grippe A (H1N1)."
L’OMS conclut à l’observation d’une constante évolution des virus grippaux avec un potentiel de changement surprenant et donc à la nécessité d'une vigilance constante, également chez les animaux. Ces événements de santé animale doivent donc être déclarés conformément aux exigences de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE).
Concernant les porcs, qui sont "sensibles" aux infections de la grippe humaine, aviaire et porcine, l'explication est la suivante: comme les virus grippaux ont huit gènes parfaitement segmentés, le porc peut fonctionner comme un véritable "réservoir" de virus grippaux favorisant l'échange de matériel génétique et donc la mutation du virus. Depuis l’apparition du virus H1N1, un petit nombre d'infections dans des élevages de porcs ont été rapportés. Des preuves limitées suggèrent la transmission directe du virus de l’Homme à l’Animal. Avec la diffusion de l’épidémie, l’OMS souligne que la transmission de l’Homme au porc pourrait devenir plus fréquente.
Chez d’autres espèces, chez des dindes au Chili et au Canada et quelques animaux de compagnie aux Etats-Unis, les signalements sont plus rares. Selon l’OMS, ces cas ne présentent aucun risque particulier pour la santé humaine.
La présence du virus H5N1 de "la grippe aviaire" chez les volailles dans plusieurs pays et son comportement est plus préoccupante pour l’OMS, même si les données disponibles à ce jour sont rassurantes.
Un virus H3N2, chez le vison roman sur plusieurs élevages qui peut se combiner aux souches humaine et porcine a été également signalé par les autorités du Danemark sans transmission du virus à l’Homme.
L’OMS, la FAO et l’OI (Organisation mondiale de la santé animale) réfléchissent à la création d’un réseau d’épidémio-surveillance spécifique au virus H1N1 chez l’animal. L’Afssa, en collaboration avec l’Institut Pasteur, vient de mettre au point un nouveau test de diagnostic chez l’animal.
Lire aussi l'article dans le Canoë en cliquant sur l'image: "Un chat et quelques furets ont contracté de leur maître le virus de la grippe A (H1N1)."
L’OMS conclut à l’observation d’une constante évolution des virus grippaux avec un potentiel de changement surprenant et donc à la nécessité d'une vigilance constante, également chez les animaux. Ces événements de santé animale doivent donc être déclarés conformément aux exigences de l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE).
Concernant les porcs, qui sont "sensibles" aux infections de la grippe humaine, aviaire et porcine, l'explication est la suivante: comme les virus grippaux ont huit gènes parfaitement segmentés, le porc peut fonctionner comme un véritable "réservoir" de virus grippaux favorisant l'échange de matériel génétique et donc la mutation du virus. Depuis l’apparition du virus H1N1, un petit nombre d'infections dans des élevages de porcs ont été rapportés. Des preuves limitées suggèrent la transmission directe du virus de l’Homme à l’Animal. Avec la diffusion de l’épidémie, l’OMS souligne que la transmission de l’Homme au porc pourrait devenir plus fréquente.
Chez d’autres espèces, chez des dindes au Chili et au Canada et quelques animaux de compagnie aux Etats-Unis, les signalements sont plus rares. Selon l’OMS, ces cas ne présentent aucun risque particulier pour la santé humaine.
La présence du virus H5N1 de "la grippe aviaire" chez les volailles dans plusieurs pays et son comportement est plus préoccupante pour l’OMS, même si les données disponibles à ce jour sont rassurantes.
Un virus H3N2, chez le vison roman sur plusieurs élevages qui peut se combiner aux souches humaine et porcine a été également signalé par les autorités du Danemark sans transmission du virus à l’Homme.