Sport et Ramadan. (c) Boubacar Barry
Après deux ans sans sport, Mamady Samoura, 34 ans, le reprend pendant le ramadan. "Aujourd’hui je sens beaucoup la santé en moi", il s’en réjouit.
Les habitués du sport ne peuvent plus s’en passer. Le sport à jeun permet de vivre le mois, bien dégourdi. Diallo Tidiane, 62 ans, en témoigne : "ça me permet de bien faire la prière, de bien manger, de bien dormir. Et aussi de faire librement mes activités au quotidien". "C’est bien dur au début, mais toute personne apte et qui se concentre, même si c’est deux jours par semaine, verra son effet énergisant", incite-t-il. S’il en a vécu un effet collatéral, étant âgé ? Il répond par la négative : "Je n’ai eu aucun problème en le pratiquant"i.
Un autre habitué du sport, c’est Bangoura David, 39 ans, depuis "le collège et les compétitions sportives interscolaires". Courageux comme ses pairs, il s’applique au sport à jeun pour deux raisons : i["maintenir son état de santé et pouvoir se lever librement le matin, sans gêne"i. i["Quand j’arrête le sport, ajoute-t-il, un mois après, je me sens un peu lourd, donc mal à l’aise"i.
Sur ce pavé de l’école américaine, Talibé Barry veut combattre le i["urpoids", causé par l’irrégularité de la pratique du sport "vu les occupations et aussi la négligence". Sous la chaleur et le ramadan qui frappe fort, le journaliste et patron de médias, est en quête d’équilibre physique et mental. "Le sport, c’est un grand pourvoyeur de santé. Il prévient les maladies... Quand je fais du sport, je suis libéré du stress lié à des états de fatigue parfois inexplicable, qui impacte plus ou moins le rendement professionnel", dit-il.
En dépit du ramadan, un peu partout à Conakry, des sportifs amateurs sont visibles sur le piétonnier, dans les salles de sport, etc. Objectif : la poursuite ou le maintien de l’équilibre psycho-physique.
Les habitués du sport ne peuvent plus s’en passer. Le sport à jeun permet de vivre le mois, bien dégourdi. Diallo Tidiane, 62 ans, en témoigne : "ça me permet de bien faire la prière, de bien manger, de bien dormir. Et aussi de faire librement mes activités au quotidien". "C’est bien dur au début, mais toute personne apte et qui se concentre, même si c’est deux jours par semaine, verra son effet énergisant", incite-t-il. S’il en a vécu un effet collatéral, étant âgé ? Il répond par la négative : "Je n’ai eu aucun problème en le pratiquant"i.
Un autre habitué du sport, c’est Bangoura David, 39 ans, depuis "le collège et les compétitions sportives interscolaires". Courageux comme ses pairs, il s’applique au sport à jeun pour deux raisons : i["maintenir son état de santé et pouvoir se lever librement le matin, sans gêne"i. i["Quand j’arrête le sport, ajoute-t-il, un mois après, je me sens un peu lourd, donc mal à l’aise"i.
Sur ce pavé de l’école américaine, Talibé Barry veut combattre le i["urpoids", causé par l’irrégularité de la pratique du sport "vu les occupations et aussi la négligence". Sous la chaleur et le ramadan qui frappe fort, le journaliste et patron de médias, est en quête d’équilibre physique et mental. "Le sport, c’est un grand pourvoyeur de santé. Il prévient les maladies... Quand je fais du sport, je suis libéré du stress lié à des états de fatigue parfois inexplicable, qui impacte plus ou moins le rendement professionnel", dit-il.
En dépit du ramadan, un peu partout à Conakry, des sportifs amateurs sont visibles sur le piétonnier, dans les salles de sport, etc. Objectif : la poursuite ou le maintien de l’équilibre psycho-physique.