C’est pourquoi, l’association "40 millions d’automobilistes" a fondé l’Institut d’Etude des Accidents au début de l’année 2011. Il s’agit naturellement d’un organisme dont la finalité essentiellement de s’assurer de la véracité des chiffres ministériels mais surtout de leur interprétation. En revanche, il convient de souligner qu’en pratique les chiffres diffusés par les assureurs commercialisant des contrats d’assurance automobile sont rarement contestés. A ce propos, il nous appartient d’ailleurs que les associations assurant la représentation des automobilistes ne remettent pas en cause les statistiques étatiques.
Or parmi les idées souvent véhiculées par les résultats établis par les pouvoirs publics, il convient de citer celle de la vitesse qui est continuellement présentée comme la première cause de mortalité routière avec l’alcool. Néanmoins, le rapport publié par l’Institut d’Etude des Accidents s’agissant des 5 premiers mois de l’année 20111 tend à démontrer le contraire : "la vitesse n’est plus l’enjeu majeur car seulement 1,8% des personnes roulent encore à plus de 20 km/h au dessus de la vitesse autorisée. Ce n’est pas une action répressive de masse sur l’ensemble des automobilistes raisonnables qui permet de lutter contre les comportements déviants qui constituent la grande majorité des causes des accidents mortels (alcool, drogue, très grande vitesse, agressivité)". Par voie de conséquence malgré la nécessité de prendre du recul sur ces résultats au regard du manque d’expérience de cet organisme, il est fort intéressant de bénéficier d’un avis tiers afin de se faire une idée plus précise de la réalité routière en France.
Source: www.autos-assurances.com
Or parmi les idées souvent véhiculées par les résultats établis par les pouvoirs publics, il convient de citer celle de la vitesse qui est continuellement présentée comme la première cause de mortalité routière avec l’alcool. Néanmoins, le rapport publié par l’Institut d’Etude des Accidents s’agissant des 5 premiers mois de l’année 20111 tend à démontrer le contraire : "la vitesse n’est plus l’enjeu majeur car seulement 1,8% des personnes roulent encore à plus de 20 km/h au dessus de la vitesse autorisée. Ce n’est pas une action répressive de masse sur l’ensemble des automobilistes raisonnables qui permet de lutter contre les comportements déviants qui constituent la grande majorité des causes des accidents mortels (alcool, drogue, très grande vitesse, agressivité)". Par voie de conséquence malgré la nécessité de prendre du recul sur ces résultats au regard du manque d’expérience de cet organisme, il est fort intéressant de bénéficier d’un avis tiers afin de se faire une idée plus précise de la réalité routière en France.
Source: www.autos-assurances.com