Photo prise par l'auteur lors de l'inauguration du port.
Nosy-Be est connue sous le nom évocateur de "l’Ile aux parfums", une île paradisiaque ornée de différentes petites îles, dont chacune se démarque par ses spécificités, et qui regorge de ressources nautiques ainsi que d’attraits touristiques de renommée mondiale.
Les dirigeants du pays ont le projet de faire de Nosy-Be la vitrine économique et la source de développement de Madagascar, et ensuite, de deux "projets structurants", à savoir la création d’une première autoroute maritime, devant relier le port d’Ankify avec Nosy-Be et d’une seconde autoroute maritime reliant Toamasina à l’Ile Sainte Marie.
La rénovation du port a été financée par le Pôle Intégré de Croissance [PIC], projet lui-même financé par la Banque Mondiale. Les travaux ont duré 15 mois, et ont été assurés par l’entreprise COLAS. Le budget nécessaire à la mise aux normes de ce vecteur essentiel de la région, se chiffre à 2,8 milliards d’Ariary.
Plusieurs infrastructures annexes ont été rénovées, en accompagnement de la rénovation du port, comme les pavillons de marché, un abri près de la passerelle reliant celui-ci au bureau de la coordination de la circulation maritime et aux guichets de vente de tickets de taxi brousse. De même pour les bureaux respectifs de l’Agence Maritime Portuaire et Fluviale (APMF) et de la gendarmerie nationale ainsi que le parking et les embarcadères.
Ces infrastructures s’avèrent elles aussi indispensables, puisque le Port d’Ankify est, en quelque sorte, le pivot de la vie économique et sociale de Nosy-Be. Chaque année, plus de 400.000 passagers et plus de 50 tonnes de marchandise y transitent.
Les dirigeants du pays ont le projet de faire de Nosy-Be la vitrine économique et la source de développement de Madagascar, et ensuite, de deux "projets structurants", à savoir la création d’une première autoroute maritime, devant relier le port d’Ankify avec Nosy-Be et d’une seconde autoroute maritime reliant Toamasina à l’Ile Sainte Marie.
La rénovation du port a été financée par le Pôle Intégré de Croissance [PIC], projet lui-même financé par la Banque Mondiale. Les travaux ont duré 15 mois, et ont été assurés par l’entreprise COLAS. Le budget nécessaire à la mise aux normes de ce vecteur essentiel de la région, se chiffre à 2,8 milliards d’Ariary.
Plusieurs infrastructures annexes ont été rénovées, en accompagnement de la rénovation du port, comme les pavillons de marché, un abri près de la passerelle reliant celui-ci au bureau de la coordination de la circulation maritime et aux guichets de vente de tickets de taxi brousse. De même pour les bureaux respectifs de l’Agence Maritime Portuaire et Fluviale (APMF) et de la gendarmerie nationale ainsi que le parking et les embarcadères.
Ces infrastructures s’avèrent elles aussi indispensables, puisque le Port d’Ankify est, en quelque sorte, le pivot de la vie économique et sociale de Nosy-Be. Chaque année, plus de 400.000 passagers et plus de 50 tonnes de marchandise y transitent.