La facture est salée pour le sac plastique
Le septième continent de plastique. Image du domaine public
Les sacs plastique à usages uniques sont une menace pour la Terre et l'écosystème. Le 1er janvier 2016 puis le 1er mars devaient voir un changement majeur arriver: l’arrêt des sacs plastique gratuits ou payants à usage unique en vente dans les supermarchés. Les sacs poubelles ne sont eux pas concernés par ce décret. Finalement, il faudra attendre le 1er juillet 2016 pour les voir disparaître en France.
Cet arrêt fait suite à la loi sur la transition énergétique votée en août 2015. Une loi qui s'est fait attendre. le premier projet de loi avait vu le jour en 2006. Le décret mettant fin à ces sacs plastique jetables a été publié au Journal Officiel le 31 mars 2016. Ce ne sont pas tous les sacs qui s’arrêteront mais les plus nocifs pour la planète bleue.
La ministre de l'Environnement, Ségolène Royal a allongé le délai mainte et mainte fois face aux colères des commerçants, distributeurs et fabricants. Cette mesure menace bon nombre d'emplois dans la plasturgie mettant en porte-à-faux entreprises de l’agroalimentaire, du plastique et de l’emballage. Ces entreprises voient en cette loi un frein pour l'activité économique de leurs marchés lucratifs. La plupart des enseignes vendent leurs sacs, entre 3 et 5 centimes. Les échanges entre la France et la Commission européenne qui n'ont pas le même règlement n'ont pas arrangé l'affaire retardant une nouvelle fois l'échéance.
Les commerces sont autorisés à distribuer les sacs plastique qui vont être interdits, jusqu'à épuisement du stock.
Cet arrêt fait suite à la loi sur la transition énergétique votée en août 2015. Une loi qui s'est fait attendre. le premier projet de loi avait vu le jour en 2006. Le décret mettant fin à ces sacs plastique jetables a été publié au Journal Officiel le 31 mars 2016. Ce ne sont pas tous les sacs qui s’arrêteront mais les plus nocifs pour la planète bleue.
La ministre de l'Environnement, Ségolène Royal a allongé le délai mainte et mainte fois face aux colères des commerçants, distributeurs et fabricants. Cette mesure menace bon nombre d'emplois dans la plasturgie mettant en porte-à-faux entreprises de l’agroalimentaire, du plastique et de l’emballage. Ces entreprises voient en cette loi un frein pour l'activité économique de leurs marchés lucratifs. La plupart des enseignes vendent leurs sacs, entre 3 et 5 centimes. Les échanges entre la France et la Commission européenne qui n'ont pas le même règlement n'ont pas arrangé l'affaire retardant une nouvelle fois l'échéance.
Les commerces sont autorisés à distribuer les sacs plastique qui vont être interdits, jusqu'à épuisement du stock.