Photo (c) Luis Acosta
Ils allaient disputer le match de leur vie. 90 minutes de football séparaient le club de Chapecoense du titre continental. Cette équipe de milieu de tableau du championnat brésilien avait créée l’exploit de se hisser jusqu’à la finale de la coupe Sudamericana, trophée que seuls les plus grands clubs d’Amérique Latine ont soulevé.
Mais la belle histoire s’est achevée de la pire des manières. L’avion qui transportait les joueurs et 55 autres passagers vers Medellin s’est écrasé lundi à une centaine de kilomètres de son arrivée. Parmi les joueurs, trois survivants. Depuis mardi, les hommages se multiplient. L’adversaire de Chapecoense, l’Athletico Nacional colombien, a souhaité décerner la victoire de la compétition au club brésilien. Mais nul ne sait à présent si l’équipe pourra se relever, et bâtir un nouvel effectif pour les années à venir.
Ce drame fait tragiquement écho à l’histoire qu’avait vécu la sélection zambienne, victime d’un accident d’avion avant un match de la coupe d’Afrique des Nations en 1993. Les Zambiens avaient remporté en 2012 la CAN, sous les ordres du Français Hervé Renard. On ne peut que souhaiter le même destin à Chapecoense.
Mais la belle histoire s’est achevée de la pire des manières. L’avion qui transportait les joueurs et 55 autres passagers vers Medellin s’est écrasé lundi à une centaine de kilomètres de son arrivée. Parmi les joueurs, trois survivants. Depuis mardi, les hommages se multiplient. L’adversaire de Chapecoense, l’Athletico Nacional colombien, a souhaité décerner la victoire de la compétition au club brésilien. Mais nul ne sait à présent si l’équipe pourra se relever, et bâtir un nouvel effectif pour les années à venir.
Ce drame fait tragiquement écho à l’histoire qu’avait vécu la sélection zambienne, victime d’un accident d’avion avant un match de la coupe d’Afrique des Nations en 1993. Les Zambiens avaient remporté en 2012 la CAN, sous les ordres du Français Hervé Renard. On ne peut que souhaiter le même destin à Chapecoense.