Ainsi, si ce ne sont pas les députés français, c’est la Commission européenne qui s’autorise des décisions qui ne vont pas dans l’intérêt des populations, en consentant à la fusion des deux groupes, allemand et américain. N’ont été pris en compte que les aspects économiques et absolument pas ceux concernant la santé publique et l’environnement. C’est vrai, pour quoi faire?
Est-ce le scandale sanitaire du chlordécone, ce pesticide pulvérisé sur les régimes de bananes aux Antilles, qui peine tant à intéresser les politiques et les médias, qui les fera réfléchir sur l’utilisation de produits mortels pour les hommes et les femmes? Pas du tout… encore une fois, pour quoi faire? Quel est l’intérêt d’une agriculture intensive mise en place pour nourrir la planète si c’est pour l’empoisonner dans le même temps? Il n’y a qu’une seule réponse, indécente, le profit fait au passage par ceux qui produisent, prenant néanmoins l’énorme risque de se tuer et en plus d’occire ceux qu’ils aiment autour d’eux… Aujourd’hui, 90% de la population guadeloupéenne serait infectés par ce poison.
Il est pourtant tellement évident de rappeler qu’il est impossible de dissocier l’économie du social et de la politique. Notre société est globale.
Emmanuelle Macron lors de sa campagne avait promis un monde nouveau. Où est-il? Ce président et ses députés issus de la société civile et vierges de toute expérience politique - entendons purs de toutes magouilles - n’ont pas provoqué la révolution sociale que chacun attendait en votant pour eux. Les économistes qui avaient construit le projet économique de la campagne présidentielle s’inquiètent que la politique menée par le gouvernement ne se situe trop à droite. Ils ne sont pas les seuls à être préoccupés mais peut-être pas pour les mêmes raisons. En même temps, Édouard Philippe n’est pas issu de la gauche, aussi aucune surprise n’est vraiment permise… Les ministres de gauche n’ont qu’à se faire entendre pour contrebalancer ceux issus de la droite. Bon en même temps, Gérard Collomb n’est pas un exemple probant d’une politique dite de gauche, c’est vrai.
Sans parler de la décision de réduire le parc d’habitations accessibles aux handicapés. Ou encore de recruter les enseignants à Bac+3 plutôt qu’au niveau master pour pallier la difficulté de recruter ceux qui ont la lourde charge de former les citoyens de demain. Ceux-là mêmes qui ont la responsabilité de l’avenir d’une nation, entendons-nous très souvent et qui paradoxalement - mais l’est-ce tant que cela? - sont déconsidérés par une large partie de la population qui ne leur fait pas confiance.
Nous avons déjà parlé dans ces colonnes de la crise traversée par Les Républicains, laissant une autoroute à la République en marche et l’obligeant croit-elle, à aller chasser sur les terres du faux nouveau Rassemblement national. Grosse erreur qu’il faudra vite identifier et recadrer pour sortir de cette ornière…
Est-ce le scandale sanitaire du chlordécone, ce pesticide pulvérisé sur les régimes de bananes aux Antilles, qui peine tant à intéresser les politiques et les médias, qui les fera réfléchir sur l’utilisation de produits mortels pour les hommes et les femmes? Pas du tout… encore une fois, pour quoi faire? Quel est l’intérêt d’une agriculture intensive mise en place pour nourrir la planète si c’est pour l’empoisonner dans le même temps? Il n’y a qu’une seule réponse, indécente, le profit fait au passage par ceux qui produisent, prenant néanmoins l’énorme risque de se tuer et en plus d’occire ceux qu’ils aiment autour d’eux… Aujourd’hui, 90% de la population guadeloupéenne serait infectés par ce poison.
Il est pourtant tellement évident de rappeler qu’il est impossible de dissocier l’économie du social et de la politique. Notre société est globale.
Emmanuelle Macron lors de sa campagne avait promis un monde nouveau. Où est-il? Ce président et ses députés issus de la société civile et vierges de toute expérience politique - entendons purs de toutes magouilles - n’ont pas provoqué la révolution sociale que chacun attendait en votant pour eux. Les économistes qui avaient construit le projet économique de la campagne présidentielle s’inquiètent que la politique menée par le gouvernement ne se situe trop à droite. Ils ne sont pas les seuls à être préoccupés mais peut-être pas pour les mêmes raisons. En même temps, Édouard Philippe n’est pas issu de la gauche, aussi aucune surprise n’est vraiment permise… Les ministres de gauche n’ont qu’à se faire entendre pour contrebalancer ceux issus de la droite. Bon en même temps, Gérard Collomb n’est pas un exemple probant d’une politique dite de gauche, c’est vrai.
Sans parler de la décision de réduire le parc d’habitations accessibles aux handicapés. Ou encore de recruter les enseignants à Bac+3 plutôt qu’au niveau master pour pallier la difficulté de recruter ceux qui ont la lourde charge de former les citoyens de demain. Ceux-là mêmes qui ont la responsabilité de l’avenir d’une nation, entendons-nous très souvent et qui paradoxalement - mais l’est-ce tant que cela? - sont déconsidérés par une large partie de la population qui ne leur fait pas confiance.
Nous avons déjà parlé dans ces colonnes de la crise traversée par Les Républicains, laissant une autoroute à la République en marche et l’obligeant croit-elle, à aller chasser sur les terres du faux nouveau Rassemblement national. Grosse erreur qu’il faudra vite identifier et recadrer pour sortir de cette ornière…