François Hollande lors de la rencontre avec la communauté française d'Hô Chi Minh Ville. Photo © Laurent Dubois. Publication autorisée par le détenteur des droits
Le Vietnam est le premier partenaire de la France, au sein de l'ASEAN (association des nations de l'Asie du Sud-Est). Avec une croissance de 6,7% en 2015 et un niveau de pauvreté qui est passé de 58% à 14% au cours de ces 15 dernières années, ce Tigre est désormais un réel enjeu économique pour la France.
Lors de sa rencontre avec la communauté française d'Hô Chi Minh Ville, François Hollande a indiqué qu'il fallait "relever des défis politiques mais également économiques". Ce partenariat stratégique est déjà acquis dans les domaines de l'aéronautique, du transport et de l'alimentaire. Plusieurs contrats ont été signés. Le transport aérien vietnamien étant en pleine expansion, des commandes d'un montant proche de 6,5 milliards de dollars ont été signés pour Airbus. Un marché où la concurrence est très forte puisqu'en juin 2016, lors de la visite officielle de Barak Obama, VietJet avait commandé 100 avions Boeing.
François Hollande a expliqué qu'il restait beaucoup à faire et qu'il était nécessaire de simplifier les accords et de faciliter l'exportation de produits français vers le Vietnam. Avec des taxes sur les produits d'importation atteignant souvent les 100%, cet aspect est vital pour ouvrir le marché vietnamien aux produits français (vins, spiritueux, cosmétiques). Aujourd'hui, plus de 300 entreprises françaises sont installées au Vietnam permettant d'y créer plus de 26.000 emplois.
Le président a aussi expliqué la volonté de la France de lutter avec le Vietnam contre le réchauffement climatique et pour la préservation de l'environnement. Ce pays fait partie des plus touchés au monde par la montée des eaux et par la pollution maritime. Lors de la COP 21, le Vietnam a signé l'accord de Paris, s'engageant ainsi à réduire ses émissions de gaz à effet de serre.
Bien que cet aspect n'ait pas été évoqué dans les discours du président, François Hollande a demandé la remise en liberté de quatre militants des droits de l'Homme. Cette demande fait suite à la lettre ouverte de trois ONG (le Comité Vietnam pour la Défense des Droits de l'Homme, la Ligue française des Droits de l'Homme et la Fédération Internationale des Droits de l'Homme).
Sa visite ayant eu lieu juste avant la fête de la mi-automne, le président a pu goûter le fameux gâteau de lune à Hanoi.
Lors de sa rencontre avec la communauté française d'Hô Chi Minh Ville, François Hollande a indiqué qu'il fallait "relever des défis politiques mais également économiques". Ce partenariat stratégique est déjà acquis dans les domaines de l'aéronautique, du transport et de l'alimentaire. Plusieurs contrats ont été signés. Le transport aérien vietnamien étant en pleine expansion, des commandes d'un montant proche de 6,5 milliards de dollars ont été signés pour Airbus. Un marché où la concurrence est très forte puisqu'en juin 2016, lors de la visite officielle de Barak Obama, VietJet avait commandé 100 avions Boeing.
François Hollande a expliqué qu'il restait beaucoup à faire et qu'il était nécessaire de simplifier les accords et de faciliter l'exportation de produits français vers le Vietnam. Avec des taxes sur les produits d'importation atteignant souvent les 100%, cet aspect est vital pour ouvrir le marché vietnamien aux produits français (vins, spiritueux, cosmétiques). Aujourd'hui, plus de 300 entreprises françaises sont installées au Vietnam permettant d'y créer plus de 26.000 emplois.
Le président a aussi expliqué la volonté de la France de lutter avec le Vietnam contre le réchauffement climatique et pour la préservation de l'environnement. Ce pays fait partie des plus touchés au monde par la montée des eaux et par la pollution maritime. Lors de la COP 21, le Vietnam a signé l'accord de Paris, s'engageant ainsi à réduire ses émissions de gaz à effet de serre.
Bien que cet aspect n'ait pas été évoqué dans les discours du président, François Hollande a demandé la remise en liberté de quatre militants des droits de l'Homme. Cette demande fait suite à la lettre ouverte de trois ONG (le Comité Vietnam pour la Défense des Droits de l'Homme, la Ligue française des Droits de l'Homme et la Fédération Internationale des Droits de l'Homme).
Sa visite ayant eu lieu juste avant la fête de la mi-automne, le président a pu goûter le fameux gâteau de lune à Hanoi.