Photo (c) Palais Princier
La conférence a débuté par un discours d’ouverture de M. Sergeï Ordzhonikidze, Directeur général de l’Office des Nations Unies à Genève (ONUG). Se sont ensuite exprimés Mme Shirin EBADI, Prix Nobel de la Paix 2003, et M. Whole SOYINKA, Prix Nobel de Littérature 1986. Un débat avec l’ensemble des participants a suivi ces interventions.
S.A.S. le Prince Souverain a fait une première conclusion en déclarant notamment : "…Ce soixantième anniversaire est, à l’échelle planétaire un temps de doute pour les Droits de l’Homme. Après l’euphorie des années 1990, ces dernières années ont vu surgir un nouveau débat, un nouvel ennemi : le relativisme". Il a rajouté : "…Ces doutes Mesdames et Messieurs, ne doivent pas nous arrêter. Au contraire. C’est parce qu’il nous revient de faire la preuve des droits de l’Homme que notre responsabilité est plus grande que jamais. Car notre monde de doute est aussi un monde de fraternités réinventées, un monde où les cris des victimes se font entendre de plus en plus fort. D’un pays, d’un continent à l’autre, des voix nous disent que les maux sont les mêmes, comme sont identiques les dangers nés d’une gestion irresponsable de la nature ou les malheurs causés par une économie oublieuse des hommes". M. Carlos LOPES a conclu la conférence.
S.A.S. le Prince Souverain a fait une première conclusion en déclarant notamment : "…Ce soixantième anniversaire est, à l’échelle planétaire un temps de doute pour les Droits de l’Homme. Après l’euphorie des années 1990, ces dernières années ont vu surgir un nouveau débat, un nouvel ennemi : le relativisme". Il a rajouté : "…Ces doutes Mesdames et Messieurs, ne doivent pas nous arrêter. Au contraire. C’est parce qu’il nous revient de faire la preuve des droits de l’Homme que notre responsabilité est plus grande que jamais. Car notre monde de doute est aussi un monde de fraternités réinventées, un monde où les cris des victimes se font entendre de plus en plus fort. D’un pays, d’un continent à l’autre, des voix nous disent que les maux sont les mêmes, comme sont identiques les dangers nés d’une gestion irresponsable de la nature ou les malheurs causés par une économie oublieuse des hommes". M. Carlos LOPES a conclu la conférence.
Photo (c) Palais Princier
La journée s’est terminée par la Soirée « Only Watch 2009 » organisée par M. Luc PETTAVINO, Président de l’Association contre les Myopathies. Il a affirmé : "…En quatre ans le succès de ce qui pouvait sembler au départ un pari ambitieux s’est confirmé. (…) Sur un sujet aussi complexe que la myopathie de Duchenne, le progrès ne peut se concevoir que dans une perspective à long terme."
Grâce au travail de l’Association Monégasque contre les Myopathies et grâce à ses généreux donateurs de vraies perspectives thérapeutiques se dessinent et désormais les essais cliniques vont pouvoir commencer.
Grâce au travail de l’Association Monégasque contre les Myopathies et grâce à ses généreux donateurs de vraies perspectives thérapeutiques se dessinent et désormais les essais cliniques vont pouvoir commencer.