Mouvement des forces démocratiques de Casamance. Photo prise par l'auteur.
Pour ce chef de guerre du front nord du maquis casamançais, "l’exploitation du zircon représente une déclaration de guerre. Plusieurs fois nous avons convenu avec le Sénégal de ne rien toucher et d’attendre le règlement du conflit. L’indépendance d’abord. Le reste après".
Ces déclarations ont surpris et frustré Dakar. "Si les populations ne sont pas d’accord, l’État du Sénégal verra avec la société. Mais nous pensons que ça sera dommage pour les populations de la Casamance qui aujourd’hui souffrent de cette situation. Je pense que c’est un projet qui peut être très viable pour les populations de Niafrang puisqu’il y a des retombées économiques", a réagi Aissatou Sophie Gladima Siybé du ministère des Mines et de la géologie du Sénégal.
Ces déclarations ont surpris et frustré Dakar. "Si les populations ne sont pas d’accord, l’État du Sénégal verra avec la société. Mais nous pensons que ça sera dommage pour les populations de la Casamance qui aujourd’hui souffrent de cette situation. Je pense que c’est un projet qui peut être très viable pour les populations de Niafrang puisqu’il y a des retombées économiques", a réagi Aissatou Sophie Gladima Siybé du ministère des Mines et de la géologie du Sénégal.