L’abondance des matières plastiques à Douala
Photo prise par l'auteur
Au Cameroun, plus de 200.000 hectares du couvert végétal sont perdus chaque année à cause de la matière plastique. Des centaines de millions de déchets plastiques, inondent nos villes et villages en échouant dans les eaux et sous la terre. Ils proviennent des magasins de commerce où ils servent à emballer toute sorte de biens y compris alimentaires. Bien que toxiques pour notre santé, les matières plastiques s’imposent davantage dans nos marchés. Et on se souvient d’ailleurs de la note du 24 octobre 2013 du ministre de l’Environnement, Pierre Hele, soulignant l’interdiction des plastiques. Mais cinq années après, ils courent toujours les rues de notre pays.
La loi camerounaise est claire dans son article 82 de la loi cadre n°96/12/05 de 1996 relative à la gestion de l’environnement, on peut lire exactement ceci: "Il est puni d’une amende de 1 à 5 millions de Franc CFA et d’une peine de six mois à un an d’emprisonnement ou l’une des deux peines seulement, toute personne qui pollue, dégrade le sol, les sous-sols, altère la qualité de l’air ou eaux, en infraction des dispositions de la présente loi". Les matières plastiques ont un effet toxique sur la santé de l’homme et des animaux. Elles participent à la destruction de la couche d’ozone dans le monde. Ensemble protégeons notre environnement.
La loi camerounaise est claire dans son article 82 de la loi cadre n°96/12/05 de 1996 relative à la gestion de l’environnement, on peut lire exactement ceci: "Il est puni d’une amende de 1 à 5 millions de Franc CFA et d’une peine de six mois à un an d’emprisonnement ou l’une des deux peines seulement, toute personne qui pollue, dégrade le sol, les sous-sols, altère la qualité de l’air ou eaux, en infraction des dispositions de la présente loi". Les matières plastiques ont un effet toxique sur la santé de l’homme et des animaux. Elles participent à la destruction de la couche d’ozone dans le monde. Ensemble protégeons notre environnement.