Carnet remis par la mairie
Dans son adresse M. Khalifa Ababacar SALL a exprimé toute l’ambition de sa collectivité locale à dérouler une politique en faveur de l’Education à la base. Il s’agit, selon lui de «créer de meilleures conditions d’études pour l’élève primaire de Dakar». Et d’ajouter : «Notre ambition est de servir l’élève à l’école».
Ainsi, à travers ce programme 75 000 élèves seront pris en charge par la mairie. Et ce, du cours d’initiation au cours moyen.
Le Maire a, par ailleurs, magnifié l’excellente collaboration des partenaires notamment le ministère de l’Enseignement et le ministère de la Santé. Il s’est aussi félicité du partenariat noué depuis neuf mois avec les autorités de l’Education au niveau régional.
Auparavant, l’Inspecteur d’académie de Dakar, M. Baba Ousseynou Ly, a magnifié la collaboration que le Maire a instaurée entre sa ville et les inspections du département de Dakar. «Les inspections sont pleinement impliquées» a-t-il notamment indiqué.
Il a, par ailleurs, assuré le Maire du soutien de ses services pour relever les défis qui se posent aux écoles de la ville de Dakar.
Selon Baba Ousseynou Ly : «Dans une collectivité locale forte, ce sont les maires qui sont les patrons de l’école. Une école de la communauté pilotée par les élus locaux».
Ainsi, à travers ce programme 75 000 élèves seront pris en charge par la mairie. Et ce, du cours d’initiation au cours moyen.
Le Maire a, par ailleurs, magnifié l’excellente collaboration des partenaires notamment le ministère de l’Enseignement et le ministère de la Santé. Il s’est aussi félicité du partenariat noué depuis neuf mois avec les autorités de l’Education au niveau régional.
Auparavant, l’Inspecteur d’académie de Dakar, M. Baba Ousseynou Ly, a magnifié la collaboration que le Maire a instaurée entre sa ville et les inspections du département de Dakar. «Les inspections sont pleinement impliquées» a-t-il notamment indiqué.
Il a, par ailleurs, assuré le Maire du soutien de ses services pour relever les défis qui se posent aux écoles de la ville de Dakar.
Selon Baba Ousseynou Ly : «Dans une collectivité locale forte, ce sont les maires qui sont les patrons de l’école. Une école de la communauté pilotée par les élus locaux».
D’autres programmes pour l’élève de Dakar
Outre ce programme «La Santé à l’école», le maire de la ville de Dakar compte lancer d’autres programmes au nombre desquels la gratuité de la tenue scolaire, l’élargissement des bourses scolaires aux élèves de l’élémentaire, un accompagnement nutritionnel «le Lait à l’école», le sport à l’école et le soutien à l’école. Autant d’actions pour contribuer à l’amélioration du rendement scolaire.
«Après les marchands ambulants nous allons lancer une large concertation avec les apprentis dans les garages pour leur apporter notre soutien» a-t-il notamment indiqué.
Pour gagner le pari, M. khalifa Sall compte faire de l’approche participative un levier essentiel de son action. «Tout ce que nous ferons. Nous le ferons avec tout le monde et pour tout le monde» a-t-il souligné.
Et de conclure : «c’est notre capacité d’anticipation qui nous permettra de relever les défis du 21e siècle».
Tenue en présence d’une délégation de la ville de Marseille, cette cérémonie de lancement du programme LA SANTE à L’ECOLE semble inaugurer une nouvelle ère dans la prise en charge de la compétence Education transférée aux collectivités locales depuis 1996. Toutefois, saura t-on éviter le travers d’un manque de suivi qui assez souvent constitue la faiblesse des programmes ?
«Après les marchands ambulants nous allons lancer une large concertation avec les apprentis dans les garages pour leur apporter notre soutien» a-t-il notamment indiqué.
Pour gagner le pari, M. khalifa Sall compte faire de l’approche participative un levier essentiel de son action. «Tout ce que nous ferons. Nous le ferons avec tout le monde et pour tout le monde» a-t-il souligné.
Et de conclure : «c’est notre capacité d’anticipation qui nous permettra de relever les défis du 21e siècle».
Tenue en présence d’une délégation de la ville de Marseille, cette cérémonie de lancement du programme LA SANTE à L’ECOLE semble inaugurer une nouvelle ère dans la prise en charge de la compétence Education transférée aux collectivités locales depuis 1996. Toutefois, saura t-on éviter le travers d’un manque de suivi qui assez souvent constitue la faiblesse des programmes ?