Ces dernières années, leur espérance de vie se rapproche de celle de la population générale. Les trisomiques se voient souvent refuser le droit de voir leur personnalité juridique reconnue dans des conditions d'égalité, de voter ou d'être élu.
Dans de nombreux pays, filles et garçons présentant des handicaps intellectuels n'ont pas suffisamment accès à l'enseignement ordinaire. Les préjugés selon lesquels les enfants porteurs de trisomie 21 ont des effets négatifs sur l'éducation d'autrui ont poussé certains parents d'enfants présentant ce type de handicap à mettre leurs enfants dans des écoles spécialisées ou à les garder chez eux. Il ressort toutefois des travaux de recherche que la diversité en classe permet un apprentissage et une compréhension bénéficiant à l'ensemble des enfants.
"L'Organisation des Nations Unies s'efforce depuis des décennies d'assurer le bien-être et de protéger les droits de l'homme de tous. Ces efforts ont été étayés par l'adoption en 2006 de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Cette Convention a constitué un changement d'orientation et permis aux handicapés de ne plus être considérés comme des personnes ayant besoin de charité et d'aide sociale mais comme des individus ayant les mêmes droits et la même dignité que les autres et susceptibles de faire d'extraordinaires contributions à la société", a souligné Ban Ki-moon, le Secrétaire général de l'ONU.
* La trisomie 21 est une maladie génétique qui touche toute la personne. Elle résulte d'une anomalie chromosomique. Normalement, l'être humain possède 46 chromosomes organisés en 23 paires. Dans la trisomie 21, le chromosome 21 existe en trois exemplaires au lieu de deux, portant le nombre total de chromosomes à 47. Le chromosome 21 est le plus petit des chromosomes, il compte environ 300 gènes. C'est la présence de ce chromosome supplémentaire qui déséquilibre l'ensemble du fonctionnement du génome et donc de l'organisme.
Interview audio: Ludovine de La Rochère, Responsable de la communication à la Fondation Jérôme Lejeune (propos recueillis par Florence Westergard).
Dans de nombreux pays, filles et garçons présentant des handicaps intellectuels n'ont pas suffisamment accès à l'enseignement ordinaire. Les préjugés selon lesquels les enfants porteurs de trisomie 21 ont des effets négatifs sur l'éducation d'autrui ont poussé certains parents d'enfants présentant ce type de handicap à mettre leurs enfants dans des écoles spécialisées ou à les garder chez eux. Il ressort toutefois des travaux de recherche que la diversité en classe permet un apprentissage et une compréhension bénéficiant à l'ensemble des enfants.
"L'Organisation des Nations Unies s'efforce depuis des décennies d'assurer le bien-être et de protéger les droits de l'homme de tous. Ces efforts ont été étayés par l'adoption en 2006 de la Convention relative aux droits des personnes handicapées. Cette Convention a constitué un changement d'orientation et permis aux handicapés de ne plus être considérés comme des personnes ayant besoin de charité et d'aide sociale mais comme des individus ayant les mêmes droits et la même dignité que les autres et susceptibles de faire d'extraordinaires contributions à la société", a souligné Ban Ki-moon, le Secrétaire général de l'ONU.
* La trisomie 21 est une maladie génétique qui touche toute la personne. Elle résulte d'une anomalie chromosomique. Normalement, l'être humain possède 46 chromosomes organisés en 23 paires. Dans la trisomie 21, le chromosome 21 existe en trois exemplaires au lieu de deux, portant le nombre total de chromosomes à 47. Le chromosome 21 est le plus petit des chromosomes, il compte environ 300 gènes. C'est la présence de ce chromosome supplémentaire qui déséquilibre l'ensemble du fonctionnement du génome et donc de l'organisme.
Interview audio: Ludovine de La Rochère, Responsable de la communication à la Fondation Jérôme Lejeune (propos recueillis par Florence Westergard).