La gardienne japonaise, Ayaka Yamashita, a évité à son équipe une défaite plus lourde. Photo (c) Serge Gloumeaud
Avant ce match, l’Angleterre devançait le Japon de deux points. Les Nippones devaient donc l’emporter pour leur chiper la place de leader. Pour ce faire, elles débutèrent le match pied au plancher. Après une récupération du ballon au milieu du terrain, Mana Iwabuchi frappa au but des vingt mètres, mais la balle passa au-dessus de la cage anglaise (6ème minute). Dans la foulée, les Japonaises obtenaient un coup-franc magnifiquement tiré par l’attaquante Kumi Yokoyama. La gardienne anglaise, Karen Bardsley, détourna le tir qui prenait la direction de la lucarne (10ème).
Peu à peu, l’Angleterre reprenait des couleurs et imposait sa supériorité physique. Au quart d’heure de jeu, Georgia Stanway lança Ellen White dans la profondeur. L’attaquante de Manchester City fit preuve de sang-froid et battit de près la gardienne nippone. Sur leur première réelle occasion, les Britanniques ouvraient le score (14ème).
Dans la période qui suivit, les Anglaises, toutes de blanc vêtues, développèrent un jeu de qualité. Physiques et techniques, elles mirent en difficulté des adversaires qui peinaient même à sortir le ballon de leur propre camp. L’addition aurait pu être plus corsée si la gardienne japonaise, Ayaka Yamashita, n’avait pas sorti le grand jeu par deux fois face à Georgia Stanway (25ème et 33ème).
Un but à zéro : ce fut le score à la mi-temps. Durant cette première période, les Japonaises souffrirent face à des adversaires qui les avaient déjà battues lors de leur dernière confrontation (3-0) au mois de mars dernier.
Peu à peu, l’Angleterre reprenait des couleurs et imposait sa supériorité physique. Au quart d’heure de jeu, Georgia Stanway lança Ellen White dans la profondeur. L’attaquante de Manchester City fit preuve de sang-froid et battit de près la gardienne nippone. Sur leur première réelle occasion, les Britanniques ouvraient le score (14ème).
Dans la période qui suivit, les Anglaises, toutes de blanc vêtues, développèrent un jeu de qualité. Physiques et techniques, elles mirent en difficulté des adversaires qui peinaient même à sortir le ballon de leur propre camp. L’addition aurait pu être plus corsée si la gardienne japonaise, Ayaka Yamashita, n’avait pas sorti le grand jeu par deux fois face à Georgia Stanway (25ème et 33ème).
Un but à zéro : ce fut le score à la mi-temps. Durant cette première période, les Japonaises souffrirent face à des adversaires qui les avaient déjà battues lors de leur dernière confrontation (3-0) au mois de mars dernier.
Froid réalisme britannique
Les Anglaises ont à nouveau démontré une grande force collective. Photo (c) Serge Gloumeaud
Durant la deuxième mi-temps, les Nippones mirent toutes leurs forces dans la bataille mais les Anglaises paraissaient bien trop fortes. Celles-ci se contentèrent d’attendre leurs adversaires et de procéder par contres. Cependant, à trop reculer et à trop laisser jouer les Japonaises, les Britanniques auraient pu être punies. À trois reprises, l’attaquante Yuika Sugasawa, entrée à la mi-temps, fit passer des frissons dans le dos des supporters anglo-saxons (65ème, 72ème et 80ème).
Alors que le Japon poussait, c’est l’Angleterre qui, lors d’une contre-attaque meurtrière, trouvait à nouveau le chemin des filets. Karen Carney lançait l’inévitable Ellen White qui marquait d’une frappe limpide, réalisant ainsi un doublé (84ème). Un scénario cruel pour les Nippones…
Dans une ambiance feutrée et devant 14.319 spectateurs, les Japonaises lançaient leurs dernières forces dans la bataille. Elles se procurèrent quelques occasions mais il semblait écrit qu’elles ne parviendraient pas à marquer, leurs tentatives manquant souvent de puissance et parfois d’adresse.
Le match se termina sur ce score de deux buts à zéro pour les joueuses de Sa Majestée. Celles-ci n’ont guère tremblé, confortant ainsi leur première place au classement. Elles ont aussi démontré des qualités de nature à faire d’elles des favorites de la compétition.
Alors que le Japon poussait, c’est l’Angleterre qui, lors d’une contre-attaque meurtrière, trouvait à nouveau le chemin des filets. Karen Carney lançait l’inévitable Ellen White qui marquait d’une frappe limpide, réalisant ainsi un doublé (84ème). Un scénario cruel pour les Nippones…
Dans une ambiance feutrée et devant 14.319 spectateurs, les Japonaises lançaient leurs dernières forces dans la bataille. Elles se procurèrent quelques occasions mais il semblait écrit qu’elles ne parviendraient pas à marquer, leurs tentatives manquant souvent de puissance et parfois d’adresse.
Le match se termina sur ce score de deux buts à zéro pour les joueuses de Sa Majestée. Celles-ci n’ont guère tremblé, confortant ainsi leur première place au classement. Elles ont aussi démontré des qualités de nature à faire d’elles des favorites de la compétition.