Le sport: un bien-être pour l’entretien physique du corps et de l’esprit
Bigorexie. Illustration: Podcast Journal
En dehors des sportifs individuels, plus de 10 millions de Français sont adhérents à des clubs et ou à des associations sportifs. Un nombre qui croît chaque année au vue des statistiques du ministère en charge des Sports. Aujourd’hui au delà de la recherche manifeste du plaisir, du loisir, et vecteur de cohésion, la pratique du sport participe pour beaucoup à l’entretien du corps et du psychisme. L’estime de soi, la reconnaissance, l’acceptation de l’effort et la modélisation du corps par le sport est devenu le hobby d’une population en quête de reconnaissance.
Loin de se désolidariser de la politique du culte de la personnalité et de la vénération du corps parfait, symptomatique des sociétés occidentales en quête de la jeunesse éternelle. Ne dit ‘on pas que "quand le corps fonctionne bien, l’esprit et l’âme sont en osmose"?
Outre ce positionnement, les biens faits de la pratique d’une activité physique et sportive en soi sont colossaux et insoupçonnées. En plus de protéger contre le stress et la dépression (la France est le premier consommateur en Europe d’antidépresseurs), le sport protège contre les maladies cardiovasculaires et concoure à la stabilisation de la pression artérielle. Chez les femmes, il est un rempart contre certains cancers en l’occurrence celui des seins et chez les hommes, il se pose comme une soupape de sécurité pour contrer le cancer de la prostate.
En somme, faire du sport, s’est maximisé le taux de réussite de son corps contre toutes attaques extérieures. La diversification et l’adaptation du sport en fonction de son âge ne peut qu’apporter une meilleure qualité de vie. Qualité qui être désastreusement mis en mal si la pratique est disproportionnée.
Loin de se désolidariser de la politique du culte de la personnalité et de la vénération du corps parfait, symptomatique des sociétés occidentales en quête de la jeunesse éternelle. Ne dit ‘on pas que "quand le corps fonctionne bien, l’esprit et l’âme sont en osmose"?
Outre ce positionnement, les biens faits de la pratique d’une activité physique et sportive en soi sont colossaux et insoupçonnées. En plus de protéger contre le stress et la dépression (la France est le premier consommateur en Europe d’antidépresseurs), le sport protège contre les maladies cardiovasculaires et concoure à la stabilisation de la pression artérielle. Chez les femmes, il est un rempart contre certains cancers en l’occurrence celui des seins et chez les hommes, il se pose comme une soupape de sécurité pour contrer le cancer de la prostate.
En somme, faire du sport, s’est maximisé le taux de réussite de son corps contre toutes attaques extérieures. La diversification et l’adaptation du sport en fonction de son âge ne peut qu’apporter une meilleure qualité de vie. Qualité qui être désastreusement mis en mal si la pratique est disproportionnée.
Le sport: une drogue, une addiction, un traitement
La pratique outrancière et excessive du sport est malheureusement source de nombreuses souffrances. En effet, les sportifs sont exposés à des traumatismes psychologiques et physiques pouvant entraîner une fragilité et une anxiété permanente.
Les vertus euphorisantes du sport sont un nid à la dépendance semblable à la relation toxicomane-substances illicites. Les endorphines vont changer le métabolisme du sportif. Créant ainsi avec parcimonie la subordination de celui à l’activité sportive intense.
Ni bénéfique ni valorisant mais esclave du sport, l’addicté sera en quête d’exploits, de palmarès élogieux au delà de ses réelles aptitudes physiques et performances… source de la bigorexie.
La bigorexie, conduite additive identifié chez certains sportifs professionnels ou amateurs est une pathologie qui nécessite un suivie et un traitement auprès de spécialités de la santé. Plus vite la pathologie est détectée, mieux ce sera pour le sportif d’espérer quitter les escarcelles de ce mal dont souffre des milliers de personnes en France et ailleurs.
Oui à la pratique du sport non à la spoliation de sa liberté de veiller sur son bien-être.
Les vertus euphorisantes du sport sont un nid à la dépendance semblable à la relation toxicomane-substances illicites. Les endorphines vont changer le métabolisme du sportif. Créant ainsi avec parcimonie la subordination de celui à l’activité sportive intense.
Ni bénéfique ni valorisant mais esclave du sport, l’addicté sera en quête d’exploits, de palmarès élogieux au delà de ses réelles aptitudes physiques et performances… source de la bigorexie.
La bigorexie, conduite additive identifié chez certains sportifs professionnels ou amateurs est une pathologie qui nécessite un suivie et un traitement auprès de spécialités de la santé. Plus vite la pathologie est détectée, mieux ce sera pour le sportif d’espérer quitter les escarcelles de ce mal dont souffre des milliers de personnes en France et ailleurs.
Oui à la pratique du sport non à la spoliation de sa liberté de veiller sur son bien-être.