Illustration. Image du domaine public.
Ce serait des milliers d’irrégularités qu’auraient relevées des observateurs de l’opposition ainsi que d’ONG dans tout le territoire. Les pratiques dénoncées seraient de différents types.
Des autocars auraient été affrétés pour faire venir en masse des électeurs dans des bureaux de vote. Une partie de ces transports étaient alors directement assurés par les autorités. Certains observateurs rapportent, aussi, avoir vu des électeurs voter plusieurs fois. Et des cas de bourrages d'urnes ont été constatés.
De plus, des observateurs disent avoir été menacés et ou empêchés de faire leur travail. Ils témoignent de cas d’électrices ou d’électeurs victimes de pressions, comme eux, lors du vote.
Pour vérifier leur participation, des employeurs ou universités auraient été jusqu’à contraindre des employés et des étudiants à voter directement dans leurs structures.
D’une autre façon, afin, là-aussi, d’inciter les électeurs à se rendre aux urnes, des bureaux de votes proposaient des buffets, des coupons de réductions, des denrées alimentaires ou des billets de concert aux votants.
Enfin, dans certains lieux, les observateurs ont annoncé des chiffres de fréquentation différents des autorités.
Les opposants qui semblaient pouvoir menacer une nouvelle victoire de Vladimir poutine ont été écartés très tôt de ce scrutin. L’objectif du président était donc d’obtenir un taux de participation élevé pour cette élection. C’est sa légitimité qu’il mettait en jeu et c’est probablement pour cela qu’autant de fraudes ont été rapportées, entachant le scrutin.
Difficile pour autant de pouvoir tirer un vrai bilan de l’impact de toutes ces dénonciations et de leurs véracités pour certaines. Mais on peut analyser qu’avec un taux de participation de 67% des électeurs, la fréquentation de ce scrutin n’est pas exceptionnelle, même si ce taux est un peu plus élevé qu’à la dernière élection présidentielle en 2012.
Des autocars auraient été affrétés pour faire venir en masse des électeurs dans des bureaux de vote. Une partie de ces transports étaient alors directement assurés par les autorités. Certains observateurs rapportent, aussi, avoir vu des électeurs voter plusieurs fois. Et des cas de bourrages d'urnes ont été constatés.
De plus, des observateurs disent avoir été menacés et ou empêchés de faire leur travail. Ils témoignent de cas d’électrices ou d’électeurs victimes de pressions, comme eux, lors du vote.
Pour vérifier leur participation, des employeurs ou universités auraient été jusqu’à contraindre des employés et des étudiants à voter directement dans leurs structures.
D’une autre façon, afin, là-aussi, d’inciter les électeurs à se rendre aux urnes, des bureaux de votes proposaient des buffets, des coupons de réductions, des denrées alimentaires ou des billets de concert aux votants.
Enfin, dans certains lieux, les observateurs ont annoncé des chiffres de fréquentation différents des autorités.
Les opposants qui semblaient pouvoir menacer une nouvelle victoire de Vladimir poutine ont été écartés très tôt de ce scrutin. L’objectif du président était donc d’obtenir un taux de participation élevé pour cette élection. C’est sa légitimité qu’il mettait en jeu et c’est probablement pour cela qu’autant de fraudes ont été rapportées, entachant le scrutin.
Difficile pour autant de pouvoir tirer un vrai bilan de l’impact de toutes ces dénonciations et de leurs véracités pour certaines. Mais on peut analyser qu’avec un taux de participation de 67% des électeurs, la fréquentation de ce scrutin n’est pas exceptionnelle, même si ce taux est un peu plus élevé qu’à la dernière élection présidentielle en 2012.