"Étant donné le bilan des forces égyptiennes en matière de maintien de l'ordre dans le cadre des manifestations, en particulier la banalisation de leur recours excessif et injustifié à la force meurtrière, cette dernière déclaration en date leur donne toute latitude pour commettre de nouvelles violations", a déploré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.