Œuvre composée d’après la pièce du dramaturge, romancier, dessinateur argentin Raúl Damonte Botana dit Copi, né le 20 novembre 1939 à Buenos Aires et mort à París le 14 décembre 1987. Il écrivit "La sombra de Venceslao" en 1977, après le coup d’État du général Jorge Rafael Videla le 24 mars 1976. Le livret de l'opéra et la mise en scène sont de Jorge Lavelli qui dans ce dernier domaine, a connu un nombre impressionnant de succès tant à l'opéra qu'au théâtre. Né en 1932 à Buenos Aires, il est Français depuis 1977. Les décors sont de Ricardo Sánchez Cuerda, les costumes de Francesco Zito, le tout sous la direction musicale du chef catalan Ernest Martínez Izquierdo.
L’œuvre, chantée en français, fut d’abord en 1977 une pièce de théâtre, traduite vingt-deux ans plus tard et présentée à Paris par le même Jorge Lavelli au Théâtre de la Tempête du bois de Vincennes et en 2000 au théâtre du Rond-Point sur les Champs-Élysées.
Cette création à Rennes, la première du CFPL, Centre français de promotion lyrique, est réalisée en collaboration avec l'Opéra Grand Avignon, l'Opéra national de Bordeaux, le Centre Lyrique Clermont-Auvergne, l'Opéra de Marseille, l'Opéra Orchestre national Montpellier Languedoc-Roussillon, les Opéras de Reims, Rennes, Toulon Provence-Méditerranée et le Théâtre du Capitole de Toulouse. "L'ombre de Venceslao" est interprétée par une pléiade de jeunes chanteurs lyriques qui se produisent au cours d'une tournée de 21 dates prévue jusqu’en janvier 2018. Commencée à Rennes, elle se poursuivra à Toulon, Reims, Avignon, Clermont-Ferrand, Toulouse, Bordeaux pour se terminer à Montpellier. Mais aussi au Colón de Buenos Aires et au Municipal de Santiago de Chili où l’œuvre sera naturellement chantée en espagnol.
Martin Matalón, né le 17 octobre 1958 à Buenos Aires, vit à Paris depuis 1993 et enseigne la composition. C'est son second opéra depuis "Le Miracle Secret" en 1989, d'après un conte de son compatriote Jorge Luis Borges paru en 1943. Et il n'a pas hésité à intégrer à sa partition des éléments folkloriques, chants argentins ou tangos interprétés au bandonéon.
L’œuvre relate le voyage de Venceslao, un père de famille pauvre, qui rencontre des personnages picaresques au cours de ses errances qui le conduisent de l'estancia du village imaginaire de Diamante aux chutes d'Iguazú puis à Buenos Aires. Un perroquet, un cheval et un singe font aussi partie de la distribution. Se succèdent ainsi pendant deux heures une introduction évoquant l'orage, trente-deux courts tableaux et un interlude interprété par quatre bandonéonistes. Le tango est dansé par Jorge Rodríguez avec des rappels d'inoubliables interprètes dont évidemment le légendaire Carlos Gardel. Un spectacle à ne pas manquer quand l'occasion s'en présentera dès les prochaines semaines.
L’œuvre, chantée en français, fut d’abord en 1977 une pièce de théâtre, traduite vingt-deux ans plus tard et présentée à Paris par le même Jorge Lavelli au Théâtre de la Tempête du bois de Vincennes et en 2000 au théâtre du Rond-Point sur les Champs-Élysées.
Cette création à Rennes, la première du CFPL, Centre français de promotion lyrique, est réalisée en collaboration avec l'Opéra Grand Avignon, l'Opéra national de Bordeaux, le Centre Lyrique Clermont-Auvergne, l'Opéra de Marseille, l'Opéra Orchestre national Montpellier Languedoc-Roussillon, les Opéras de Reims, Rennes, Toulon Provence-Méditerranée et le Théâtre du Capitole de Toulouse. "L'ombre de Venceslao" est interprétée par une pléiade de jeunes chanteurs lyriques qui se produisent au cours d'une tournée de 21 dates prévue jusqu’en janvier 2018. Commencée à Rennes, elle se poursuivra à Toulon, Reims, Avignon, Clermont-Ferrand, Toulouse, Bordeaux pour se terminer à Montpellier. Mais aussi au Colón de Buenos Aires et au Municipal de Santiago de Chili où l’œuvre sera naturellement chantée en espagnol.
Martin Matalón, né le 17 octobre 1958 à Buenos Aires, vit à Paris depuis 1993 et enseigne la composition. C'est son second opéra depuis "Le Miracle Secret" en 1989, d'après un conte de son compatriote Jorge Luis Borges paru en 1943. Et il n'a pas hésité à intégrer à sa partition des éléments folkloriques, chants argentins ou tangos interprétés au bandonéon.
L’œuvre relate le voyage de Venceslao, un père de famille pauvre, qui rencontre des personnages picaresques au cours de ses errances qui le conduisent de l'estancia du village imaginaire de Diamante aux chutes d'Iguazú puis à Buenos Aires. Un perroquet, un cheval et un singe font aussi partie de la distribution. Se succèdent ainsi pendant deux heures une introduction évoquant l'orage, trente-deux courts tableaux et un interlude interprété par quatre bandonéonistes. Le tango est dansé par Jorge Rodríguez avec des rappels d'inoubliables interprètes dont évidemment le légendaire Carlos Gardel. Un spectacle à ne pas manquer quand l'occasion s'en présentera dès les prochaines semaines.