Agir en totale transparence à la demande du Mali et susciter la compréhension des 15 membres du Conseil de sécurité et solliciter le soutien de tous les partenaires, tel est l'objectif de cette demande.
”L'opération militaire de la France a reçu le plein soutien de Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies”, s'est félicité Gérard Araud, le Représentant permanent de la France auprès des Nations Unies.
La réunion du Conseil, lundi après-midi, a fait suite à une lettre de vendredi soir dans laquelle la France informait le Conseil de sécurité de son intervention au Mali effectuée à la demande de Bamako, et indiquait qu’elle continuerait à tenir le conseil informé. La France a lancé une contre-offensive vendredi après une offensive islamiste vers le Sud.
Pour justifier son intervention, Paris met en avant l’article 51 de la Charte de l’ONU qui mentionne le droit de légitime défense, individuelle ou collective, dans le cas où un membre des Nations unies est l’objet d’une agression armée.
Sur le plan politique la priorité pour la France n'a pas varié. Il faut privilégier la solution politique et les négociations. La France demande toutefois, que soit accélérée la mise en œuvre de la résolution 2085 qui autorise notamment le déploiement de la Force internationale de soutien au Mali (MISMA, approuvée le 20 décembre par le Conseil de sécurité.
*Le Nord du Mali est depuis le début de l’année 2012 sous la coupe de groupes armés jihadistes, devenant un sanctuaire pour Al-Qaïda au Maghreb islamique.
En vidéo, le point de presse de Gérard Araud, Représentant permanent de la France auprès des Nations Unies
Ci-dessous en audio, extraits du point de presse, mise en perspective par Maha Fayek
”L'opération militaire de la France a reçu le plein soutien de Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies”, s'est félicité Gérard Araud, le Représentant permanent de la France auprès des Nations Unies.
La réunion du Conseil, lundi après-midi, a fait suite à une lettre de vendredi soir dans laquelle la France informait le Conseil de sécurité de son intervention au Mali effectuée à la demande de Bamako, et indiquait qu’elle continuerait à tenir le conseil informé. La France a lancé une contre-offensive vendredi après une offensive islamiste vers le Sud.
Pour justifier son intervention, Paris met en avant l’article 51 de la Charte de l’ONU qui mentionne le droit de légitime défense, individuelle ou collective, dans le cas où un membre des Nations unies est l’objet d’une agression armée.
Sur le plan politique la priorité pour la France n'a pas varié. Il faut privilégier la solution politique et les négociations. La France demande toutefois, que soit accélérée la mise en œuvre de la résolution 2085 qui autorise notamment le déploiement de la Force internationale de soutien au Mali (MISMA, approuvée le 20 décembre par le Conseil de sécurité.
*Le Nord du Mali est depuis le début de l’année 2012 sous la coupe de groupes armés jihadistes, devenant un sanctuaire pour Al-Qaïda au Maghreb islamique.
En vidéo, le point de presse de Gérard Araud, Représentant permanent de la France auprès des Nations Unies
Ci-dessous en audio, extraits du point de presse, mise en perspective par Maha Fayek