"En effet la Principauté de Monaco applique, comme le département voisin, les directives européennes. Ainsi lorsque le seuil d’ozone de 180 µg/m3 d’air est dépassé, la Direction de l’Environnement informe la population de ce dépassement notamment sur les panneaux lumineux installés en ville et par la diffusion d’un communiqué aux médias" précise Cyril Gomez, Directeur de l’Environnement. A ce stade, il est recommandé aux personnes sensibles (enfants, personnes âgées, personnes asthmatiques ou allergiques et personnes souffrant de problèmes respiratoires ou cardiovasculaires) d’éviter les activités sportives intenses, de limiter l’exposition aux produits irritants (tabac, solvants, peintures, …), de suivre strictement les traitements médicaux et, en cas de fortes gênes respiratoires, de ne pas hésiter à consulter un médecin.
"Lorsque le dépassement de ce seuil concerne uniquement le département voisin comme cela à été le cas le 20 août 2009 sur les zones de Cagnes et Nice Ouest, outre ces recommandations sanitaires les mesures prises par le département consistent essentiellement en la réduction des émissions des polluants industriels et en la réduction de 30 km/h de la vitesse automobile sans que celle-ci ne descende en deçà des 70 km/h" souligne Claude Marmenteau, Chef de Division à la Direction de l’Environnement.
La Principauté n’a pas eu jusque là à appliquer de telles mesures. Par ailleurs, à Monaco les émissions du secteur industriel sont faibles et la vitesse des véhicules est déjà limitée à moins de 70 km/h ; ces mesures ne sont donc pas applicables sur le territoire monégasque.
Rappelons également que depuis 1991 la surveillance de la qualité de l’air en Principauté est assurée par un réseau automatisé, passé, depuis sa création, de 4 à 6 stations de mesures. La pollution de proximité des sources liée au trafic automobile est contrôlée par 4 stations : rue Grimaldi, boulevard du Jardin Exotique, boulevard Charles III et place des Moulins. Deux autres stations contrôlent la pollution de fond : Fontvieille et quai Antoine 1er. Les données enregistrées sont transmises automatiquement à un poste central informatisé.
Certains polluants de l’air tels que les oxydes d’azote (NO2 et NO) , le dioxyde de soufre (SO2), le monoxyde de carbone (CO), les poussières (PES) et l’ozone (O3) sont mesurés en continu. Le plomb (Pb) est, quant à lui, mesuré manuellement par absorption atomique.
La pollution de l’air est évaluée suivant les directives européennes et leurs décrets d’application français. Conformément à ces directives une information quotidienne est transmise aux médias (presse et canal local de télévision).
"Lorsque le dépassement de ce seuil concerne uniquement le département voisin comme cela à été le cas le 20 août 2009 sur les zones de Cagnes et Nice Ouest, outre ces recommandations sanitaires les mesures prises par le département consistent essentiellement en la réduction des émissions des polluants industriels et en la réduction de 30 km/h de la vitesse automobile sans que celle-ci ne descende en deçà des 70 km/h" souligne Claude Marmenteau, Chef de Division à la Direction de l’Environnement.
La Principauté n’a pas eu jusque là à appliquer de telles mesures. Par ailleurs, à Monaco les émissions du secteur industriel sont faibles et la vitesse des véhicules est déjà limitée à moins de 70 km/h ; ces mesures ne sont donc pas applicables sur le territoire monégasque.
Rappelons également que depuis 1991 la surveillance de la qualité de l’air en Principauté est assurée par un réseau automatisé, passé, depuis sa création, de 4 à 6 stations de mesures. La pollution de proximité des sources liée au trafic automobile est contrôlée par 4 stations : rue Grimaldi, boulevard du Jardin Exotique, boulevard Charles III et place des Moulins. Deux autres stations contrôlent la pollution de fond : Fontvieille et quai Antoine 1er. Les données enregistrées sont transmises automatiquement à un poste central informatisé.
Certains polluants de l’air tels que les oxydes d’azote (NO2 et NO) , le dioxyde de soufre (SO2), le monoxyde de carbone (CO), les poussières (PES) et l’ozone (O3) sont mesurés en continu. Le plomb (Pb) est, quant à lui, mesuré manuellement par absorption atomique.
La pollution de l’air est évaluée suivant les directives européennes et leurs décrets d’application français. Conformément à ces directives une information quotidienne est transmise aux médias (presse et canal local de télévision).