Paradoxe: l’hôtellerie de plein air, pourtant très prisée, enregistre une baisse des réservations par rapport à 2011
Nombre de réservations en baisse: une tendance qui se confirme
Les différents acteurs du marché semblent indiquer un nombre de réservations en baisse comparé à la même période en 2011. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette tendance: la morosité économique d’une part, qui induit un "budget vacances" serré pour les ménages, et la météo d’autre part, qui aura réservé une première partie de saison particulièrement exécrable pour les professionnels du tourisme, notamment sur la moitié nord du pays.
La morosité ambiante fait l’affaire des consommateurs
Cette baisse du nombre de réservations a un impact intéressant pour les consommateurs: les offres de dernières minutes fleurissent sur Internet, avec à la clé des économies substantielles pour les aspirants vacanciers.
L’attrait pour le camping ne faiblit pas
Ce nombre de réservations en baisse est cependant à relativiser et ne constitue pas une remise en cause durable du camping comme mode d’hébergement de vacances. Le secteur a, en effet, traversé 10 années de profonde mutation et propose aujourd’hui des logements variés, bien différents du village de vacances ayant fait le succès des bronzés. Loin des clichés, le camping propose désormais une gamme très large d’offres allant du camping "club" au "glamping" (mot valise provenant de la contraction des termes camping et glamour) en passant par le "camping nature". L’hôtellerie de plein air offre donc des hébergements souvent insolites, naturels et confortables, répondant à une très forte demande.
Cette transformation du secteur permet ainsi au camping de renforcer sa position de concurrent face aux chambres d’hôtes, aux gîtes et aux hôtels.
Les différents acteurs du marché semblent indiquer un nombre de réservations en baisse comparé à la même période en 2011. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette tendance: la morosité économique d’une part, qui induit un "budget vacances" serré pour les ménages, et la météo d’autre part, qui aura réservé une première partie de saison particulièrement exécrable pour les professionnels du tourisme, notamment sur la moitié nord du pays.
La morosité ambiante fait l’affaire des consommateurs
Cette baisse du nombre de réservations a un impact intéressant pour les consommateurs: les offres de dernières minutes fleurissent sur Internet, avec à la clé des économies substantielles pour les aspirants vacanciers.
L’attrait pour le camping ne faiblit pas
Ce nombre de réservations en baisse est cependant à relativiser et ne constitue pas une remise en cause durable du camping comme mode d’hébergement de vacances. Le secteur a, en effet, traversé 10 années de profonde mutation et propose aujourd’hui des logements variés, bien différents du village de vacances ayant fait le succès des bronzés. Loin des clichés, le camping propose désormais une gamme très large d’offres allant du camping "club" au "glamping" (mot valise provenant de la contraction des termes camping et glamour) en passant par le "camping nature". L’hôtellerie de plein air offre donc des hébergements souvent insolites, naturels et confortables, répondant à une très forte demande.
Cette transformation du secteur permet ainsi au camping de renforcer sa position de concurrent face aux chambres d’hôtes, aux gîtes et aux hôtels.