Le travail préliminaire a pris place il y a presque deux mois quand Michel Halaby, un Libanais expatrié vivant aux États-Unis, a créé la page. Et comme les réseaux sociaux sont devenus la plateforme qui rassemble les gens sur un même sujet n’importe où qu’ils soient au monde, les administrateurs de la page sont vite devenus six et les membres plus de mille cent. "J’ai remarqué durant la semaine dernière qu’une vingtaine de membres s’ajoute chaque jour", dit Mostafa Kabbara, un des administrateurs. "On a d’innombrables photos qui datent des années quarante de l’ère dernière", continue-t-il. Le père de Mr. Kabbara s’est occupé de la photographie de façon à ce qu’il en a rassemblé des milliers surtout qu’il était un cheik largement impliqué dans la vie sociale. "Je donne deux à trois heures tous les jours pour digitaliser les photos et les mettre sur la page de Tripoli in Black & White", ajoute l’homme dans la cinquantaine.
Aussi depuis Tripoli, Ibrahim Touma contribue à l’avancement de la page. "On essaye de trouver les infos nécessaires qui se rapportent à notre ville, les noms des personnes dans les photos, la localisation des différents lieux, et la description des différents évènements", dit-il.
Vivant aux États-Unis, Tony Dib dit qu’il a trouvé la page par hasard "en faisant une recherche sur les anciennes photos de la région El Kobbeh où j’ai passé mon adolescence". Mr. Dib a été impressionné par l’enthousiasme du créateur de la page de telle façon qu’il a commencé à contribuer en mettant des anciennes photos de sa famille, "celles que j’ai pu sauver de la guerre civile", comme il dit. Un jour Mr. Dib a lu sur la page une demande d’une vidéo sur Tripoli, alors il s’est mit à produire la première qui était un hit sur la page de Tripoli in Black & White aussi bien que sur YouTube. "Alors j’ai produit trois et je suis en train de préparer d’autres parce que je voudrais bien que cette page puisse éduquer le monde sur l’héritage très riche de la ville la plus pauvre du Liban!"
Parmi les autres noms qui travaillent à améliorer la page on peut aussi retrouver Wafaa Jabbado et Taha Naji qui n’hésitent pas à faire de leur mieux pour créer de la nouveauté sur la page.
Il est intéressant de noter que ces administrateurs ne se connaissent pas en dehors du monde de l’Internet mais ils ont tous un point commun en plus de leur ville d’origine: l’amélioration de Tripoli pour qu’elle ressemble à celle qu’ils connaissaient et aimaient – une ville qui rassemble plus qu’un lieu géographique dans lequel les différents groupes sont en dissonance totale.
Vous pouvez accéder à Tripoli in Black & White en cliquant sur la photo de l’article comme vous pouvez voir un diaporama des photos de la page, ci-dessous. Vous pouvez aussi lire la version arabe de cet article ici.
Aussi depuis Tripoli, Ibrahim Touma contribue à l’avancement de la page. "On essaye de trouver les infos nécessaires qui se rapportent à notre ville, les noms des personnes dans les photos, la localisation des différents lieux, et la description des différents évènements", dit-il.
Vivant aux États-Unis, Tony Dib dit qu’il a trouvé la page par hasard "en faisant une recherche sur les anciennes photos de la région El Kobbeh où j’ai passé mon adolescence". Mr. Dib a été impressionné par l’enthousiasme du créateur de la page de telle façon qu’il a commencé à contribuer en mettant des anciennes photos de sa famille, "celles que j’ai pu sauver de la guerre civile", comme il dit. Un jour Mr. Dib a lu sur la page une demande d’une vidéo sur Tripoli, alors il s’est mit à produire la première qui était un hit sur la page de Tripoli in Black & White aussi bien que sur YouTube. "Alors j’ai produit trois et je suis en train de préparer d’autres parce que je voudrais bien que cette page puisse éduquer le monde sur l’héritage très riche de la ville la plus pauvre du Liban!"
Parmi les autres noms qui travaillent à améliorer la page on peut aussi retrouver Wafaa Jabbado et Taha Naji qui n’hésitent pas à faire de leur mieux pour créer de la nouveauté sur la page.
Il est intéressant de noter que ces administrateurs ne se connaissent pas en dehors du monde de l’Internet mais ils ont tous un point commun en plus de leur ville d’origine: l’amélioration de Tripoli pour qu’elle ressemble à celle qu’ils connaissaient et aimaient – une ville qui rassemble plus qu’un lieu géographique dans lequel les différents groupes sont en dissonance totale.
Vous pouvez accéder à Tripoli in Black & White en cliquant sur la photo de l’article comme vous pouvez voir un diaporama des photos de la page, ci-dessous. Vous pouvez aussi lire la version arabe de cet article ici.