Rugby
Déception pour la France au tournoi des 6 nations qui enregistre sa première défaite. Les tricolores se sont inclinés contre un Pays de Galles (19-10) bien plus réaliste. En effet les Français ont eu de nombreuses occasions d'inscrire des points mais se sont heurtés à une défense solide et solidaire qui a annihilé toutes leurs tentatives. La première période fut assez nettement dominée par les Gallois qui ont profité de l'imprécision française (12 plaquages manqués) pour développer un jeux rapide mettant leurs adversaires en difficulté, comme l'indiquait le score à la pause (6-3). Dès le retour des vestiaires, les Gallois ont accentué leur domination, avec une pénalité et un essai à la clé pour mener largement au tableau d'affichage (16-3).
Alors qu'on aurait pu penser les Bleus assommés, c'est au contraire le moment qu'ils ont choisit pour se révolter. Pendant plus de dix minutes, ils ont squatté les 22 mètres gallois, enchaînant les offensives. Cette domination est malheureusement restée stérile et les Britanniques en ont profité pour inscrire une nouvelle pénalité par Biggar. Malgré l'essai du capitaine Guirado - le meilleur tricolore sur le terrain- en toute fin de match, les Bleus étaient trop tendre pour espérer embêter les Gallois qui s'affirment avec cette victoire comme les favoris du tournoi.
Dans les autres matchs, l’Écosse a dominé une équipe d'Italie généreuse mais trop brouillonne pour prétendre à mieux (20-36). Le début de match était totalement à l'avantage des Écossais qui ont inscrit leur premier essai au bout de 10 minutes avant de multiplier les pénalités. Malgré une révolte en fin de mi-temps marquée par l'essai de Ghiraldini, les Italiens retournaient au vestiaire avec un déficit de sept points (10-17). Peu après l'heure de jeux, les Italiens ont cru revenir dans le match grâce à l'essai de Fuser qui promettait une fin de match palpitante (20-26 à la 63e). Mais les Italiens ont au contraire baissé le pied physiquement à ce moment, permettant aux Écossais de faire cavalier seule pour une victoire finalement plutôt large.
Dans le dernier match, l'Angleterre a pris le dessus sur l'Irlande (21-10). En première période, le XV de la Rose, dominateur, n'a pas réussi a convertir ses nombreuses actions et n'est rentré au vestiaire qu'avec trois points d'avance (6-3). En début de seconde période, l'Irlande réagissait et inscrivait un essai rapidement qui a eu pour seul effet de réveiller les Anglais. Dès lors, ils ont largement dominé le match, inscrivant deux essais par Watson et Brown afin de tuer tout suspense.
Alors qu'on aurait pu penser les Bleus assommés, c'est au contraire le moment qu'ils ont choisit pour se révolter. Pendant plus de dix minutes, ils ont squatté les 22 mètres gallois, enchaînant les offensives. Cette domination est malheureusement restée stérile et les Britanniques en ont profité pour inscrire une nouvelle pénalité par Biggar. Malgré l'essai du capitaine Guirado - le meilleur tricolore sur le terrain- en toute fin de match, les Bleus étaient trop tendre pour espérer embêter les Gallois qui s'affirment avec cette victoire comme les favoris du tournoi.
Dans les autres matchs, l’Écosse a dominé une équipe d'Italie généreuse mais trop brouillonne pour prétendre à mieux (20-36). Le début de match était totalement à l'avantage des Écossais qui ont inscrit leur premier essai au bout de 10 minutes avant de multiplier les pénalités. Malgré une révolte en fin de mi-temps marquée par l'essai de Ghiraldini, les Italiens retournaient au vestiaire avec un déficit de sept points (10-17). Peu après l'heure de jeux, les Italiens ont cru revenir dans le match grâce à l'essai de Fuser qui promettait une fin de match palpitante (20-26 à la 63e). Mais les Italiens ont au contraire baissé le pied physiquement à ce moment, permettant aux Écossais de faire cavalier seule pour une victoire finalement plutôt large.
Dans le dernier match, l'Angleterre a pris le dessus sur l'Irlande (21-10). En première période, le XV de la Rose, dominateur, n'a pas réussi a convertir ses nombreuses actions et n'est rentré au vestiaire qu'avec trois points d'avance (6-3). En début de seconde période, l'Irlande réagissait et inscrivait un essai rapidement qui a eu pour seul effet de réveiller les Anglais. Dès lors, ils ont largement dominé le match, inscrivant deux essais par Watson et Brown afin de tuer tout suspense.
Football
Triste semaine pour les clubs français en coupe d'Europe. Les deux derniers représentants tricolores en Europa League, Saint-Étienne et Marseille, ont tous deux été sortis alors que la qualification leur tendait les bras.
Vainqueurs à l'allée à domicile (3-2), les Stéphanois ont cru se qualifier après que Bayall Sall ait égalisé à la dernière minute. Mais un but dans les arrêts de jeux de Zuffi a permis à Bâle d'arracher la qualification. Les Suisses seront opposés au tenant du titre, le FC Séville. Quant aux Marseillais, ils ont cru pousser l'Athletic Bilbao en prolongation après l'ouverture du score de Batshuayi en première mi-temps. Mais le but de Merino à dix minutes du coup de sifflet final a propulsé les Basques en 8e de finale, où ils affronteront le FC Valence.
Les autres affiches des 8e de finale d'Europa League sont: Shaktar Donetsk - Anderlecht, Villareal - Leverkusen, Liverpool - Manchester United, Sparta Prague - Lazio Rome, Dortmund - Tottenham et Fenerbahçe - Braga.
En Ligue des Champions, le Bayern Munich, l'Atletico Madrid, le FC Barcelone et Manchester City ont mis une option sur la qualification en 1/4 de finale. En allant gagner à l'extérieur, le Barça (vainqueur à Arsenal 2-0) et les Mancuniens (vainqueurs 3-1 à Kiev) se sont mis dans les meilleures dispositions avant le match retour, qu'ils peuvent attendre avec sérénité.
Ce sera un poil plus compliqué pour le Bayern (match nul 2-2 contre la Juventus Turin) et l'Atletico (0-0 à Eindhoven) qui devront obtenir un résultat positif à domicile pour assurer leur qualification.
Après cette parenthèse européenne, les clubs ont rejoint leurs championnats domestiques dont la hiérarchie commence à se dessiner à l'approche de la fin de saison.
Allemagne
Même malmené, le Bayern Munich l'emporte toujours. Face à une équipe de Wolsburg accrocheuse, les Bavarois ont du attendre l'entrée de Franck Ribéry en seconde période pour trouver de l'allant offensivement. Le Français a été à l’origine des buts de son compatriote Coman et de Lewandowski afin d'assurer la victoire (0-2) et monte en régime au meilleur moment pour son équipe. De son côté, le Borussia Dortmund a eu bien du mal à venir à bout d'Hoffenheim (1-3). Longtemps menés, les Jaunes ont attendu le dernier quart d'heure pour accélérer et faire la différence, portés par un excellent Mkitharian buteur et passeur. Le podium est complété par le Herta Berlin, vainqueur 1-0 à Cologne et garde trois points d'avance sur Mayence qui a battu le Bayer Leverkusen (3-1) et le Borussia M'Gladbach qui a concédé le nul à Augsbourg (2-2). Encore incapable de s'imposer à Francfort (0-0), Schalke est désormais à quatre points du podium, tout comme le Bayer Leverkusen.
Angleterre
Tout d'abord, félicitations à Manchester City vainqueur de la League Cup contre Liverpool au bout du suspense (1-1, 3-1 TAB). Dominateurs, les Citizens ont ouvert le score par Fernando (49e) avant de voir les Reds revenir en fin de match par Coutinho (81e). Incapables de se départager, ils ont eu besoin des tirs au but pour trancher et c'est Yaya Touré qui a inscrit le penalty décisif.
En Premier League, les observateurs n'en finissent plus d'attendre le faux pas de Leicester. Et à l'instar de Montpellier en 2012, il ne vient pas. Les Foxes l'ont emporté dans les derniers instants contre Norwich (1-0) et continuent leur parcours incroyable en tête de Premier League. Derrière, si Tottenham reste à l'affut grâce à sa victoire sur Crystal Palace (2-1), Arsenal est distancé après sa défaite à Manchester United. Les Gunners se sont inclinés 3-2 à Old Trafford et se compliquent la tâche dans la course au titre qui leur échappe depuis 12 ans.
Espagne
Le Real Madrid dit définitivement adieux au titre! Les Merengues, battus par leur voisin et rival de l'Atletico Madrid (1-0, but du Français Griezmann), se trouvent désormais à points du leader barcelonais. Il faudrait un miracle pour que les joueurs de Zidane, sans idées samedi, rattrapent leur retard tant leur niveau de jeu est loin de ce qu'on pourrait attendre d'une telle équipe.
Vainqueurs à l'allée à domicile (3-2), les Stéphanois ont cru se qualifier après que Bayall Sall ait égalisé à la dernière minute. Mais un but dans les arrêts de jeux de Zuffi a permis à Bâle d'arracher la qualification. Les Suisses seront opposés au tenant du titre, le FC Séville. Quant aux Marseillais, ils ont cru pousser l'Athletic Bilbao en prolongation après l'ouverture du score de Batshuayi en première mi-temps. Mais le but de Merino à dix minutes du coup de sifflet final a propulsé les Basques en 8e de finale, où ils affronteront le FC Valence.
Les autres affiches des 8e de finale d'Europa League sont: Shaktar Donetsk - Anderlecht, Villareal - Leverkusen, Liverpool - Manchester United, Sparta Prague - Lazio Rome, Dortmund - Tottenham et Fenerbahçe - Braga.
En Ligue des Champions, le Bayern Munich, l'Atletico Madrid, le FC Barcelone et Manchester City ont mis une option sur la qualification en 1/4 de finale. En allant gagner à l'extérieur, le Barça (vainqueur à Arsenal 2-0) et les Mancuniens (vainqueurs 3-1 à Kiev) se sont mis dans les meilleures dispositions avant le match retour, qu'ils peuvent attendre avec sérénité.
Ce sera un poil plus compliqué pour le Bayern (match nul 2-2 contre la Juventus Turin) et l'Atletico (0-0 à Eindhoven) qui devront obtenir un résultat positif à domicile pour assurer leur qualification.
Après cette parenthèse européenne, les clubs ont rejoint leurs championnats domestiques dont la hiérarchie commence à se dessiner à l'approche de la fin de saison.
Allemagne
Même malmené, le Bayern Munich l'emporte toujours. Face à une équipe de Wolsburg accrocheuse, les Bavarois ont du attendre l'entrée de Franck Ribéry en seconde période pour trouver de l'allant offensivement. Le Français a été à l’origine des buts de son compatriote Coman et de Lewandowski afin d'assurer la victoire (0-2) et monte en régime au meilleur moment pour son équipe. De son côté, le Borussia Dortmund a eu bien du mal à venir à bout d'Hoffenheim (1-3). Longtemps menés, les Jaunes ont attendu le dernier quart d'heure pour accélérer et faire la différence, portés par un excellent Mkitharian buteur et passeur. Le podium est complété par le Herta Berlin, vainqueur 1-0 à Cologne et garde trois points d'avance sur Mayence qui a battu le Bayer Leverkusen (3-1) et le Borussia M'Gladbach qui a concédé le nul à Augsbourg (2-2). Encore incapable de s'imposer à Francfort (0-0), Schalke est désormais à quatre points du podium, tout comme le Bayer Leverkusen.
Angleterre
Tout d'abord, félicitations à Manchester City vainqueur de la League Cup contre Liverpool au bout du suspense (1-1, 3-1 TAB). Dominateurs, les Citizens ont ouvert le score par Fernando (49e) avant de voir les Reds revenir en fin de match par Coutinho (81e). Incapables de se départager, ils ont eu besoin des tirs au but pour trancher et c'est Yaya Touré qui a inscrit le penalty décisif.
En Premier League, les observateurs n'en finissent plus d'attendre le faux pas de Leicester. Et à l'instar de Montpellier en 2012, il ne vient pas. Les Foxes l'ont emporté dans les derniers instants contre Norwich (1-0) et continuent leur parcours incroyable en tête de Premier League. Derrière, si Tottenham reste à l'affut grâce à sa victoire sur Crystal Palace (2-1), Arsenal est distancé après sa défaite à Manchester United. Les Gunners se sont inclinés 3-2 à Old Trafford et se compliquent la tâche dans la course au titre qui leur échappe depuis 12 ans.
Espagne
Le Real Madrid dit définitivement adieux au titre! Les Merengues, battus par leur voisin et rival de l'Atletico Madrid (1-0, but du Français Griezmann), se trouvent désormais à points du leader barcelonais. Il faudrait un miracle pour que les joueurs de Zidane, sans idées samedi, rattrapent leur retard tant leur niveau de jeu est loin de ce qu'on pourrait attendre d'une telle équipe.
Tennis
Hécatombe cette semaine sur le circuit. Après les abandons de Djokovic et Kyrgios à Dubaï, c'est Federer qui a déclaré forfait pour le tournoi de Indiana Wells (7-20 mars). Cela n'a tout de même pas empêché le spectacle de continuer sur le circuit.
A Dubaï, c'est Stanislas Wawrinka qui remporte son deuxième titre cette saison. Le Suisse a battu en finale le Chypriote Marcos Baghdatis (6-4, 7-6) dans un match accroché jusqu'au bout. En effet le Suisse, poussé au jeu décisif dans le deuxième set, a repoussé quatre balles de set avant de finalement l'emporter, pour la sixième fois en autant de confrontations contre le Chypriote. Il s'agit du deuxième titre cette saison pour le numéro 4 mondial.
Au tournoi d'Acapulco, c'est l'Autrichien Dominic Thiem qui l'a emporté contre l'Australien Bernard Tomic en trois sets (7-6[6], 4-6, 6-3). Le 14e joueur mondial s'est notamment reposé sur un gros service (22 aces) pour mettre battre un adversaire qui l'a longtemps mis en difficulté. Il s'agit du deuxième titre cette saison pour le jeune Autrichien (22 ans) qui l'avait déjà emporté à Buenos Aires quelques jours auparavant.
A Dubaï, c'est Stanislas Wawrinka qui remporte son deuxième titre cette saison. Le Suisse a battu en finale le Chypriote Marcos Baghdatis (6-4, 7-6) dans un match accroché jusqu'au bout. En effet le Suisse, poussé au jeu décisif dans le deuxième set, a repoussé quatre balles de set avant de finalement l'emporter, pour la sixième fois en autant de confrontations contre le Chypriote. Il s'agit du deuxième titre cette saison pour le numéro 4 mondial.
Au tournoi d'Acapulco, c'est l'Autrichien Dominic Thiem qui l'a emporté contre l'Australien Bernard Tomic en trois sets (7-6[6], 4-6, 6-3). Le 14e joueur mondial s'est notamment reposé sur un gros service (22 aces) pour mettre battre un adversaire qui l'a longtemps mis en difficulté. Il s'agit du deuxième titre cette saison pour le jeune Autrichien (22 ans) qui l'avait déjà emporté à Buenos Aires quelques jours auparavant.
Ski
A Sotchi, grande performance du jeune Matthieu Bailet, champion du monde juniors de ski alpin. Le skieur de 19 ans a remporté la médaille d’or en super-G, devant le Canadien Crawford (+0"37) et le Suisse Odermatt (+0"53). C'est le premier titre mondial remporté par la France chez les hommes depuis le deuxième sacre en géant d'Alexis Pinturault en 2011.
A propos de Pinturault, il a justement remporté ses quatrième et cinquième courses comptant pour la coupe du monde à Hinterstoder (Autriche). Le Français, qui n'a laissé aucune chance à ses concurrents malgré une piste abimée devra espérer un miracle si il veut remporter le globe sur combiné alors qu'il compte 131 points de retard sur le leader au classement de la coupe du monde, l'autrichien Marcel Hirscher, à trois courses de la fin.
A propos de Pinturault, il a justement remporté ses quatrième et cinquième courses comptant pour la coupe du monde à Hinterstoder (Autriche). Le Français, qui n'a laissé aucune chance à ses concurrents malgré une piste abimée devra espérer un miracle si il veut remporter le globe sur combiné alors qu'il compte 131 points de retard sur le leader au classement de la coupe du monde, l'autrichien Marcel Hirscher, à trois courses de la fin.