Rugby
Pour son deuxième match du tournoi des 6 nations, la France a eu chaud. Les tricolores ont encore gagné sur le fil, 10-9 face à l'Irlande. Si ce score laisse paraître une partie très serrée, le match fut plus nuancé avec une première période dominée par l'Irlande et un second acte dans lequel les tricolores ont prouvé leur supériorité.
Dès l'entame du match, les Irlandais ont mis un point d'honneur à prendre la possession territoriale et ne pas laisser les Bleus s'introduire dans leur camp. La défense française, remarquablement organisée, a tout de même su contenir les assauts des Verts, incapables d'inscrire un essai malgré de nombreuses tentatives (9-3 à la pause).
Dès le retour des vestiaires, les joueurs de Guy Novès décidaient d'être plus tranchants et sont logiquement montés en puissance dans le jeu. Sous l'impulsion d'une mêlée à nouveau solides, les Français ont inscrit le seul essai du match après une poussée entre les poteaux impulsée par Rabah Slimani et Eddy Ben Arous et conclue par Maxime Médard. Les deux piliers, écartés du XV titulaire après leur match décevant contre l'Italie, ont parfaitement répondu aux attentes placées en eux avec une seconde période de haute volée pour amener le groupe France vers la victoire.
Pour leur prochain match, les Français seront opposés au Pays de Galle qui s'est imposé dans la douleur face à une vaillante équipe d’Écosse (27-23). Menés durant la majeure partie du match, ils ont ensuite réagi grâce à leurs remplaçants avec notamment plus d'impact dans la récupération du ballon. C'est la neuvième défaite consécutive des Écossais face à leurs voisins gallois qu'ils n'ont plus battu depuis 2007.
Enfin, l'Angleterre, qui n'a eu aucun soucis à se débarrasser de l'Italie (40-9). Sous l'impulsion des trois essais inscrits par le centre Jonathan Joseph, le XV de la Rose a malmené son adversaire de bout en bout. C'est surtout en seconde période que l'écart s'est creusé puisque les Anglais y ont inscrit quatre essais, soit plus que n'importe quelle équipe sur un match depuis le début du tournoi.
Dès l'entame du match, les Irlandais ont mis un point d'honneur à prendre la possession territoriale et ne pas laisser les Bleus s'introduire dans leur camp. La défense française, remarquablement organisée, a tout de même su contenir les assauts des Verts, incapables d'inscrire un essai malgré de nombreuses tentatives (9-3 à la pause).
Dès le retour des vestiaires, les joueurs de Guy Novès décidaient d'être plus tranchants et sont logiquement montés en puissance dans le jeu. Sous l'impulsion d'une mêlée à nouveau solides, les Français ont inscrit le seul essai du match après une poussée entre les poteaux impulsée par Rabah Slimani et Eddy Ben Arous et conclue par Maxime Médard. Les deux piliers, écartés du XV titulaire après leur match décevant contre l'Italie, ont parfaitement répondu aux attentes placées en eux avec une seconde période de haute volée pour amener le groupe France vers la victoire.
Pour leur prochain match, les Français seront opposés au Pays de Galle qui s'est imposé dans la douleur face à une vaillante équipe d’Écosse (27-23). Menés durant la majeure partie du match, ils ont ensuite réagi grâce à leurs remplaçants avec notamment plus d'impact dans la récupération du ballon. C'est la neuvième défaite consécutive des Écossais face à leurs voisins gallois qu'ils n'ont plus battu depuis 2007.
Enfin, l'Angleterre, qui n'a eu aucun soucis à se débarrasser de l'Italie (40-9). Sous l'impulsion des trois essais inscrits par le centre Jonathan Joseph, le XV de la Rose a malmené son adversaire de bout en bout. C'est surtout en seconde période que l'écart s'est creusé puisque les Anglais y ont inscrit quatre essais, soit plus que n'importe quelle équipe sur un match depuis le début du tournoi.
Football
Allemagne
L'issue de la saison offre désormais très peu de suspense après cette journée. En effet peu après la mi-championnat, le premier et le deuxième comptent déjà 21 et 13 points d'avance sur le troisième. Un gouffre. Ces équipes ce sont le Bayern Munich, plus seul que jamais au sommet du championnat après sa victoire à Augsbourg (1-3) tandis que le Borussia Dortmund essaye tant bien que mal de suivre son rythme avec sa victoire étriquée contre le Herta Berlin (1-0), troisième avant cette journée. Cette défaite des joueurs de la capitale profite au Bayer Leverkusen qui leur passe devant suite à sa victoire à Darmstadt (1-2). Derrière, Schalke perd le combat des prétendants à l'Europe contre Mayence (2-1) tandis que Wolfsburg se replace après sa victoire contre Ingolstadt (2-0)
Angleterre
Le Fantastic Four Day a rendu son verdict et c'est un vrai tournant de la saison qui vient de se jouer. Le grand perdant de ce weekend est Manchester City, défait 1-2 contre Tottenham avec une réalisation du Danois Eriksen dans pour sceller l'issue du match. Ce but rapproche les Spurs de Leicester qui s'est incliné à Arsenal (2-1) dans les dernières secondes de la partie mais garde tout de même une avance de deux points sur ses rivaux londoniens. La fin de saison s'annonce palpitante puisqu'aucune équipe ne semble se détacher des deux autres. Derrière, Manchester United ne suit définitivement plus le rythme. Les Red Devils se sont inclinés contre Sunderland (2-1) et confirment qu'ils sont incapables d'obtenir des résultats sur la durée. D'autant que Southampton (vainqueur à Swansea 1-0) et West Ham (qui a concédé le nul à Norwich 2-2) ne pointent désormais qu'à 1 point. Enfin, Si Liverpool et Chelsea déçoivent cette année par leur inconstance, ils ont tous deux signés les cartons du weekend. Les Blues se sont imposés largement contre Newcastle (5-1) tandis que les Reds ont infligé un set à la lanterne rouge, Aston Villa (6-0).
Espagne
Mais ou s'arrêtera le Barca? Porté par sa MSN, les Catalans ont encore marché sur leur adversaire, en l’occurrence le Celta Vigo, balayé 6-1 avec une démonstration technique à la clé. Barcelone a maintenu son avance en tête de Liga en multipliant les séquences géniales, comme le fameux pénalty tiré à 2 par Messi et Suarez. A leurs trousses, les clubs madrilènes essaient tant bien que mal d'exister. Le Real a battu L'Athletic Bilbao (4-2) dans une rencontre plus serrée que ne le suggère le score tandis que l'Atletico l'a emporté contre Getafe (1-0) grâce au 101e but de Fernando Torres chez les Colchoneros. Derrière, Villareal reste campé à sa quatrième place et profite de son court succès contre Malaga (1-0) pour maintenir à distance le FC Séville, vainqueur 2-0 de Las Palmas. Enfin un petit événement s'est produit lors de cette journée puisque le FC Valence a gagné un match (2-1 contre l'Espanyol Barcelone), une première depuis que l'entraîneur Gary Neville a pris place sur le banc.
France
Championnat sans queue ni tête, la Ligue 1 voit peu à peu ses grandes équipes reprendre la main. Signe de cette normalisation, Angers et Caen dégringolent au classement alors qu'ils étaient sur le podium à la trêve. Les Angevins sont désormais 8e après leur défaite contre Rennes (1-0) tandis que les Caennais, balayés 4-1 à Lyon, sont désormais 10e. Si Saint-Étienne et Monaco n'ont pu se départager (1-1), ils se maintiennent en haut de classement où Nice qui a concédé le nul contre Marseille (1-1) consolide sa place. En ce qui concerne le PSG petit événement puisque les Parisiens n'ont pas gagné contre Lille (0-0) et n'ont même pas inscrit de but, une première pour un match à domicile en championnat cette saison.
Italie
Dans le grand choc de la journée c'est la Juve qui sort vainqueur et met une option sur le Scudetto. Les Turinois se sont imposés contre Naples (1-0), signant là leur quinzième victoire d'affilée en championnat. Cette défaite laissera des traces dans le clan napolitain, qui dominait la course au titre jusque là. L'autre grand match de la journée opposait la Fiorentina à l'Inter Milan. Dans ce duel pour la troisième place, c'est la Viola qui l'a emporté (2-1) dans les derrières secondes et continue sa bonne saison. C'est en revanche plus dur pour les Milanais qui marquent nettement le pas alors qu'ils étaient leader il y a à peine plus d'un mois et se retrouvent également dépassés par l'AS Roma, vainqueur à Carpi (1-3). Même l'AC Milan revient au contact de son voisin grâce à sa courte mais précieuse victoire sur le Genoa (2-1). Ces six équipes ont fait le trou avec leurs poursuivants, au premier rang desquelles la Lazio qui, malgré sa probante victoire contre le Hellas Vérone (5-2), aura bien du mal à combler le retard accumulé depuis le début de saison.
L'issue de la saison offre désormais très peu de suspense après cette journée. En effet peu après la mi-championnat, le premier et le deuxième comptent déjà 21 et 13 points d'avance sur le troisième. Un gouffre. Ces équipes ce sont le Bayern Munich, plus seul que jamais au sommet du championnat après sa victoire à Augsbourg (1-3) tandis que le Borussia Dortmund essaye tant bien que mal de suivre son rythme avec sa victoire étriquée contre le Herta Berlin (1-0), troisième avant cette journée. Cette défaite des joueurs de la capitale profite au Bayer Leverkusen qui leur passe devant suite à sa victoire à Darmstadt (1-2). Derrière, Schalke perd le combat des prétendants à l'Europe contre Mayence (2-1) tandis que Wolfsburg se replace après sa victoire contre Ingolstadt (2-0)
Angleterre
Le Fantastic Four Day a rendu son verdict et c'est un vrai tournant de la saison qui vient de se jouer. Le grand perdant de ce weekend est Manchester City, défait 1-2 contre Tottenham avec une réalisation du Danois Eriksen dans pour sceller l'issue du match. Ce but rapproche les Spurs de Leicester qui s'est incliné à Arsenal (2-1) dans les dernières secondes de la partie mais garde tout de même une avance de deux points sur ses rivaux londoniens. La fin de saison s'annonce palpitante puisqu'aucune équipe ne semble se détacher des deux autres. Derrière, Manchester United ne suit définitivement plus le rythme. Les Red Devils se sont inclinés contre Sunderland (2-1) et confirment qu'ils sont incapables d'obtenir des résultats sur la durée. D'autant que Southampton (vainqueur à Swansea 1-0) et West Ham (qui a concédé le nul à Norwich 2-2) ne pointent désormais qu'à 1 point. Enfin, Si Liverpool et Chelsea déçoivent cette année par leur inconstance, ils ont tous deux signés les cartons du weekend. Les Blues se sont imposés largement contre Newcastle (5-1) tandis que les Reds ont infligé un set à la lanterne rouge, Aston Villa (6-0).
Espagne
Mais ou s'arrêtera le Barca? Porté par sa MSN, les Catalans ont encore marché sur leur adversaire, en l’occurrence le Celta Vigo, balayé 6-1 avec une démonstration technique à la clé. Barcelone a maintenu son avance en tête de Liga en multipliant les séquences géniales, comme le fameux pénalty tiré à 2 par Messi et Suarez. A leurs trousses, les clubs madrilènes essaient tant bien que mal d'exister. Le Real a battu L'Athletic Bilbao (4-2) dans une rencontre plus serrée que ne le suggère le score tandis que l'Atletico l'a emporté contre Getafe (1-0) grâce au 101e but de Fernando Torres chez les Colchoneros. Derrière, Villareal reste campé à sa quatrième place et profite de son court succès contre Malaga (1-0) pour maintenir à distance le FC Séville, vainqueur 2-0 de Las Palmas. Enfin un petit événement s'est produit lors de cette journée puisque le FC Valence a gagné un match (2-1 contre l'Espanyol Barcelone), une première depuis que l'entraîneur Gary Neville a pris place sur le banc.
France
Championnat sans queue ni tête, la Ligue 1 voit peu à peu ses grandes équipes reprendre la main. Signe de cette normalisation, Angers et Caen dégringolent au classement alors qu'ils étaient sur le podium à la trêve. Les Angevins sont désormais 8e après leur défaite contre Rennes (1-0) tandis que les Caennais, balayés 4-1 à Lyon, sont désormais 10e. Si Saint-Étienne et Monaco n'ont pu se départager (1-1), ils se maintiennent en haut de classement où Nice qui a concédé le nul contre Marseille (1-1) consolide sa place. En ce qui concerne le PSG petit événement puisque les Parisiens n'ont pas gagné contre Lille (0-0) et n'ont même pas inscrit de but, une première pour un match à domicile en championnat cette saison.
Italie
Dans le grand choc de la journée c'est la Juve qui sort vainqueur et met une option sur le Scudetto. Les Turinois se sont imposés contre Naples (1-0), signant là leur quinzième victoire d'affilée en championnat. Cette défaite laissera des traces dans le clan napolitain, qui dominait la course au titre jusque là. L'autre grand match de la journée opposait la Fiorentina à l'Inter Milan. Dans ce duel pour la troisième place, c'est la Viola qui l'a emporté (2-1) dans les derrières secondes et continue sa bonne saison. C'est en revanche plus dur pour les Milanais qui marquent nettement le pas alors qu'ils étaient leader il y a à peine plus d'un mois et se retrouvent également dépassés par l'AS Roma, vainqueur à Carpi (1-3). Même l'AC Milan revient au contact de son voisin grâce à sa courte mais précieuse victoire sur le Genoa (2-1). Ces six équipes ont fait le trou avec leurs poursuivants, au premier rang desquelles la Lazio qui, malgré sa probante victoire contre le Hellas Vérone (5-2), aura bien du mal à combler le retard accumulé depuis le début de saison.
Tennis
A Rotterdam, Gael Monfils disputait sa première finale ATP en 2016. Et cela ne s'est pas bien passé pour le Français, qui s'incline face à Martin Klizan (6-7,6-3,6-1), déjà tombeur d'un tricolore en demi-finale en la personne de Nicolas Mahut.
Après un premier set pendant lequel il a réussi à contenir la force de frappe de son adversaire, la Monf' a peu à peu cédé face à l'intensité des échanges. Le 43e joueur mondial, qui n'était pas donné favori, a attendu son heure pour prendre le dessus. C'est au milieu du deuxième set, alors que le score était de 3-3 que le Slovaque a passé la vitesse supérieure, glanant 9 des 10 derniers jeux disputés. Telle une tornade, il n'a laissé abattu sur son passage, laissant Monfils totalement démunis.
C'est le 1e titre en ATP 500 pour Klizan qui en aura bavé pour en arriver là avec plusieurs balles de matches écartées en quart et demi finale.
A Memphis, c'est Kei Nikishori qui l'emporte face au prodige américain Taylor Fritz (6-4, 6-4) . C'est le onzième titre de la carrière du Japonais (11e au classement ATP), le premier cette saison. Et surtout son quatrième d'affilée à Memphis, où il détient le trophée depuis 2013.
C'est pourtant le jeune challenger qui avait pris les devants dans ce match en remportant les trois premiers jeux. Mais face à l'expérience et au talent du Japonais, le 145e mondial s'est progressivement perdu dans ce jeu, dans lequel il a été défait 6-4. Dans le second set, celui qui détient le trophée depuis 2013 break à 2-2 et a conservé son engagement jusqu'à la fin, au grand dam du jeune homme de 18 ans.
Chez les femmes, Venus Williams a remporté le tournoi de Taiwan. En finale, l'Américaine a battu la Japonaise Misaki Doi en 1h26 (6-4, 6-2). Si elle n'a jamais semblé en grande difficulté dans cette partie, son jeux de service lui a joué des tours (9 doubles fautes tout de même), ce qu'elle a compensé par des retours toujours impeccables. La 12e mondiale retrouve un niveau excellent, puisqu'elle n'a pas perdu un seul set à Taiwan (son 49e titre en carrière dont 7 Grand Chelem). De quoi oublier sa défaite prématurée à l'Open d'Australie et être fin prête pour la saison de terre battue.
Après un premier set pendant lequel il a réussi à contenir la force de frappe de son adversaire, la Monf' a peu à peu cédé face à l'intensité des échanges. Le 43e joueur mondial, qui n'était pas donné favori, a attendu son heure pour prendre le dessus. C'est au milieu du deuxième set, alors que le score était de 3-3 que le Slovaque a passé la vitesse supérieure, glanant 9 des 10 derniers jeux disputés. Telle une tornade, il n'a laissé abattu sur son passage, laissant Monfils totalement démunis.
C'est le 1e titre en ATP 500 pour Klizan qui en aura bavé pour en arriver là avec plusieurs balles de matches écartées en quart et demi finale.
A Memphis, c'est Kei Nikishori qui l'emporte face au prodige américain Taylor Fritz (6-4, 6-4) . C'est le onzième titre de la carrière du Japonais (11e au classement ATP), le premier cette saison. Et surtout son quatrième d'affilée à Memphis, où il détient le trophée depuis 2013.
C'est pourtant le jeune challenger qui avait pris les devants dans ce match en remportant les trois premiers jeux. Mais face à l'expérience et au talent du Japonais, le 145e mondial s'est progressivement perdu dans ce jeu, dans lequel il a été défait 6-4. Dans le second set, celui qui détient le trophée depuis 2013 break à 2-2 et a conservé son engagement jusqu'à la fin, au grand dam du jeune homme de 18 ans.
Chez les femmes, Venus Williams a remporté le tournoi de Taiwan. En finale, l'Américaine a battu la Japonaise Misaki Doi en 1h26 (6-4, 6-2). Si elle n'a jamais semblé en grande difficulté dans cette partie, son jeux de service lui a joué des tours (9 doubles fautes tout de même), ce qu'elle a compensé par des retours toujours impeccables. La 12e mondiale retrouve un niveau excellent, puisqu'elle n'a pas perdu un seul set à Taiwan (son 49e titre en carrière dont 7 Grand Chelem). De quoi oublier sa défaite prématurée à l'Open d'Australie et être fin prête pour la saison de terre battue.
Basket
Ce weekend, la NBA célébrait le All-Star Game, événement annuel lors duquel les meilleurs joueurs des deux conférences se rencontrent.
La soirée a notamment été marquée par les adieux de Kobe Bryant à cette rencontre de gala puisqu'il se retirera des parquets en fin de saison. Pour son 18e et dernier All-Star Game, Kobe Bryant n'a pas manqué ses adieux. La légende des Los Angeles Lakers a participé à la démonstration offensive des deux équipes, remportée par la conférence Ouest. Au-delà de l'hommage réservé à Kobe Bryant, le All-Star Game a une fois de plus offert un spectacle grandiose. Dans un match particulièrement ouvert et marqué par des défenses particulièrement absentes, l'Ouest l'a emporté 196 à 173. Il s'agit donc du match le plus prolifique de l'histoire avec 369 points en cumulé.
Rythmée par les coups de génie de Curry, Anthony et autres Harden, cette édition a offert un festival de dunks et shoots à 3 points plus spectaculaires les uns que les autres.
Cette rencontre était l'occasion pour Black Mamba de prouver qu'il avait encore le niveau des meilleurs et que cette sélection n'était pas qu'une récompense pour son immense carrière. De ce point de vue, son match fut une réussite puisqu'il a aligné 10 points, 6 rebonds et 7 passes.
A l'issue de ce match, c'est Russel Westbrook qui a été honoré du titre MVP qui récompense le meilleur joueur du All-Star Game. Le virevoltant ailier des Oklahoma City Thunders s'est distingué avec ses 31 ponts, 8 rebonds, 5 passes décisives et 5 interceptions. Il s'agit de son deuxième titre de MVP du All-Star Game consécutif, une première depuis Bob Pettit en... 1959!
De son côté, Paul George s'est distingué en obtenant le titre de meilleur marqueur de la rencontre. Le joueur des Indiana Pacers a inscrit 41 points, tutoyant le record de Wilt Chamberlain, qui avait inscrit 42 points en 1962.
Malgré une performance relativement discrète pour son statut (seulement 13 points) Lebron James a tout de même réussi à se faire remarquer. En effet il est devenu le joueur à inscrire le plus de points lors d'un All-Star Game (291) à seulement 31 ans. Il dépasse ainsi Kobe Bryant (290), détenteur de ce record jusque-là. Une marque qui pourrait cependant ne pas tenir bien longtemps puisque Kevin Durant a inscrit presque autant de points que ses aînés (279) alors qu'il n'est âgé que de 27 ans.
La soirée a notamment été marquée par les adieux de Kobe Bryant à cette rencontre de gala puisqu'il se retirera des parquets en fin de saison. Pour son 18e et dernier All-Star Game, Kobe Bryant n'a pas manqué ses adieux. La légende des Los Angeles Lakers a participé à la démonstration offensive des deux équipes, remportée par la conférence Ouest. Au-delà de l'hommage réservé à Kobe Bryant, le All-Star Game a une fois de plus offert un spectacle grandiose. Dans un match particulièrement ouvert et marqué par des défenses particulièrement absentes, l'Ouest l'a emporté 196 à 173. Il s'agit donc du match le plus prolifique de l'histoire avec 369 points en cumulé.
Rythmée par les coups de génie de Curry, Anthony et autres Harden, cette édition a offert un festival de dunks et shoots à 3 points plus spectaculaires les uns que les autres.
Cette rencontre était l'occasion pour Black Mamba de prouver qu'il avait encore le niveau des meilleurs et que cette sélection n'était pas qu'une récompense pour son immense carrière. De ce point de vue, son match fut une réussite puisqu'il a aligné 10 points, 6 rebonds et 7 passes.
A l'issue de ce match, c'est Russel Westbrook qui a été honoré du titre MVP qui récompense le meilleur joueur du All-Star Game. Le virevoltant ailier des Oklahoma City Thunders s'est distingué avec ses 31 ponts, 8 rebonds, 5 passes décisives et 5 interceptions. Il s'agit de son deuxième titre de MVP du All-Star Game consécutif, une première depuis Bob Pettit en... 1959!
De son côté, Paul George s'est distingué en obtenant le titre de meilleur marqueur de la rencontre. Le joueur des Indiana Pacers a inscrit 41 points, tutoyant le record de Wilt Chamberlain, qui avait inscrit 42 points en 1962.
Malgré une performance relativement discrète pour son statut (seulement 13 points) Lebron James a tout de même réussi à se faire remarquer. En effet il est devenu le joueur à inscrire le plus de points lors d'un All-Star Game (291) à seulement 31 ans. Il dépasse ainsi Kobe Bryant (290), détenteur de ce record jusque-là. Une marque qui pourrait cependant ne pas tenir bien longtemps puisque Kevin Durant a inscrit presque autant de points que ses aînés (279) alors qu'il n'est âgé que de 27 ans.