Ce n’est pas un problème d’information. Les services de renseignements européens sont loin d’ignorer le risque d’attaques terroristes contre des sites nucléaires. L’information a fuité mais comme d’habitude, "tout va bien madame la marquise"! Des hackers tentent de prendre le contrôle d’une centrale nucléaire en Allemagne mais "ces programmes malveillants n’auraient pas mis en péril les installations des réacteurs" ont assuré les responsables du site. Encore une fois, on nous prend pour des imbéciles. Des terroristes veulent commémorer à leur façon la catastrophe de Tchernobyl et on ne doit pas s’inquiéter. Il est vrai qu’il y a 30 ans déjà, les autorités françaises avaient tenté avec l’aide de certains médias de nous faire croire que le nuage toxique consécutif à l’explosion de la centrale nucléaire ukrainienne s’était arrêté au-dessus de la frontière franco-allemande! (Voir notre dessin de presse sur ce sujet)
De même, posons-nous la question de savoir pourquoi d’un coup la Belgique veut appliquer un plan d’urgence nucléaire qui date de 2003? Les Belges nous expliquent qu’un groupe de travail réunissant des responsables des ministères de la Santé et de l’Intérieur ont tenu compte des leçons tirées de la catastrophe de Fukushima… cinq ans après il n’est jamais trop tard il est vrai… La ficelle est quand même un peu grosse, quelques semaines après les attentats bruxellois et l’attaque informatique d’une centrale nucléaire d’un pays voisin, l’Allemagne. Et qui pensent-ils rassurer ces autorités belges avec leur pilule d’iode? Est-ce un antidote contre une explosion nucléaire? On nous prend vraiment pour des imbéciles mais même là, certains plus que d’autres.
Une enquête récente semble pourtant montrer que la population française évolue sur cette question nucléaire. Alors qu’un dernier sondage de 2013 avait montré l’affection qu’une très large majorité de Français avait encore pour cette source d’énergie, il semble que les mentalités changent. Il est vrai qu’entre les deux dates, la catastrophe de Fukushima a eu lieu. Qui peut avoir vu les images des conséquences du tsunami japonais et ne pas avoir pensé qu’il fallait fermer toutes les centrales nucléaires immédiatement? Qui a pu entendre ou lire les avis des uns et des autres sur la question sans se demander si nous étions dans un monde de fous? Pas besoin d’être un génie pour comprendre que personne ne peut contrôler la nature, mais que certains hommes et femmes sont assez prétentieux pour le penser encore alors qu’ils ont sous les yeux des images apocalyptiques. Pourquoi persister dans ce sens puisque l’on sait que l’on ne pourra pas échapper à une catastrophe naturelle ou provoquée?
Tout simplement parce que cela rapporte de l’argent! C’est sordide mais vrai. Pourquoi ne ferme-t-on pas les centrales nucléaires? Pourquoi y a-t-il même des débats sur la question? Pourquoi les politiciens changent-ils régulièrement de position sur le sujet? Parce que l’impératif économique prime sur l’humain et la raison. Parce que certaines industries françaises et autres ont le monopole de cette énergie et que surtout il est urgent de ne rien remettre en question.
Pourquoi ceux qui défendent l’idée d’une sortie du nucléaire passent-ils pour des hurluberlus? Des hommes et des femmes qui n’auraient pas conscience de la réalité des choses? Des individus qui n’auraient pas en main tous les éléments de réflexion nécessaire pour se faire une opinion.
Une seule solution existe, les énergies renouvelables (EnR). Il n’est évidemment pas question de revenir en arrière, ante nucléaire. Non, ce qu’il faut faire aujourd’hui, c’est investir dans les EnR, qu’elles soient solaires, éoliennes ou autres. Et surtout oser changer les choses… mais ça ce n’est pas dans le pouvoir des hommes et femmes politiques, leur morale n’est pas la nôtre.
De même, posons-nous la question de savoir pourquoi d’un coup la Belgique veut appliquer un plan d’urgence nucléaire qui date de 2003? Les Belges nous expliquent qu’un groupe de travail réunissant des responsables des ministères de la Santé et de l’Intérieur ont tenu compte des leçons tirées de la catastrophe de Fukushima… cinq ans après il n’est jamais trop tard il est vrai… La ficelle est quand même un peu grosse, quelques semaines après les attentats bruxellois et l’attaque informatique d’une centrale nucléaire d’un pays voisin, l’Allemagne. Et qui pensent-ils rassurer ces autorités belges avec leur pilule d’iode? Est-ce un antidote contre une explosion nucléaire? On nous prend vraiment pour des imbéciles mais même là, certains plus que d’autres.
Une enquête récente semble pourtant montrer que la population française évolue sur cette question nucléaire. Alors qu’un dernier sondage de 2013 avait montré l’affection qu’une très large majorité de Français avait encore pour cette source d’énergie, il semble que les mentalités changent. Il est vrai qu’entre les deux dates, la catastrophe de Fukushima a eu lieu. Qui peut avoir vu les images des conséquences du tsunami japonais et ne pas avoir pensé qu’il fallait fermer toutes les centrales nucléaires immédiatement? Qui a pu entendre ou lire les avis des uns et des autres sur la question sans se demander si nous étions dans un monde de fous? Pas besoin d’être un génie pour comprendre que personne ne peut contrôler la nature, mais que certains hommes et femmes sont assez prétentieux pour le penser encore alors qu’ils ont sous les yeux des images apocalyptiques. Pourquoi persister dans ce sens puisque l’on sait que l’on ne pourra pas échapper à une catastrophe naturelle ou provoquée?
Tout simplement parce que cela rapporte de l’argent! C’est sordide mais vrai. Pourquoi ne ferme-t-on pas les centrales nucléaires? Pourquoi y a-t-il même des débats sur la question? Pourquoi les politiciens changent-ils régulièrement de position sur le sujet? Parce que l’impératif économique prime sur l’humain et la raison. Parce que certaines industries françaises et autres ont le monopole de cette énergie et que surtout il est urgent de ne rien remettre en question.
Pourquoi ceux qui défendent l’idée d’une sortie du nucléaire passent-ils pour des hurluberlus? Des hommes et des femmes qui n’auraient pas conscience de la réalité des choses? Des individus qui n’auraient pas en main tous les éléments de réflexion nécessaire pour se faire une opinion.
Une seule solution existe, les énergies renouvelables (EnR). Il n’est évidemment pas question de revenir en arrière, ante nucléaire. Non, ce qu’il faut faire aujourd’hui, c’est investir dans les EnR, qu’elles soient solaires, éoliennes ou autres. Et surtout oser changer les choses… mais ça ce n’est pas dans le pouvoir des hommes et femmes politiques, leur morale n’est pas la nôtre.