Cela dépend de la presse que vous lisez. Face à la fracture de plus en plus importante entre élites politiques et population, les médias reste le médium privilégié pour dénoncer ou non les raisons qui justifient aux yeux des derniers se dégout de la politique. A lire certains médias, tout est beau. La France a bien travaillé pour la cause écologique et le succès perdure puisque de nombreux pays sont au rendez-vous. Par nature, on ne croit pas à ce qui est simple. Par conséquent, on cherche un peu plus loin. Dans une autre catégorie de médias d’informations, on comprend que l’accord est tout sauf simple; que la signature par les représentants de l’Union européenne par exemple, n’entraînera l’application des mesures pour ne pas dépasser l’augmentation de 2 degrés seulement si tous les pays membres ratifient l’accord individuellement. Ce n'est pas gagné…
On l’aura compris la question est politique et militante. Voilà un mot qui n’est plus à la mode. Voilà un mot qui fait peur. J’entends des confrères qui réfutent avec force et inquiétude ce terme de militant. Et pourquoi? Ne peut-on pas être journaliste et militant, c’est-à-dire croire en une cause? Si la démarche est claire dès le départ alors il n’y a pas tricherie vis-à-vis du lecteur. Et souvent, celle-ci est claire dès les premières phrases voire même parfois dès que l’on tient le support entre ses mains, tactilement parlant. C’est certainement plus honnête que de faire croire à une quelconque neutralité, à une quelconque objectivité. Comme si celle-ci existait? A partir du moment où vous êtes un être humain conscient et réfléchi, vous devez avoir consciemment ou non une opinion et celle-ci ne peut être objective, puisqu’elle vous appartient. Par contre, vous pourrez l’avoir construit sur des bases équilibrées, à partir de plusieurs sources. Et aujourd’hui sur ces questions climatiques, c’est tout à fait possible. En dehors des médias que j’appellerai classiques, ces grands journaux de la presse écrite ou audio-visuels, il y a une nouvelle presse qui existe. Elle n’est pas très ancienne, mais pas si jeune que cela et surtout elle a de plus en plus pignon sur rue. Souvent faites par des hommes et des femmes issus de la presse classique, ces déçus ont créé des supports médiatiques ou intégrés des équipes pour parler de l’information autrement. On les retrouve le plus souvent sur le net. Ceux qui relèvent le défi du papier sont évidemment et plus souvent confrontés à des difficultés financières. Aujourd’hui, ceux qui refusent la parole des médias classiques qui se transforment souvent en porte-parole des élites politiques et financières peuvent trouver d’autres sources d’informations. Elles existent, il faut les chercher, ne pas en avoir peur, ne pas hésiter à les croiser entre elles, de comparer l’information. A nous de jouer si nous voulons être acteur de notre monde!
Là non plus ce n’est pas gagné, à en croire les résultats d’un dernier sondage où les Français estiment que ce sont surtout leurs élites qui doivent agir pour l’environnement. Ah bon? Et nous au quotidien, on ne peut rien faire? Évidemment si, et heureusement qu’ils sont de plus en plus nombreux à le savoir et à nous le dire.
On l’aura compris la question est politique et militante. Voilà un mot qui n’est plus à la mode. Voilà un mot qui fait peur. J’entends des confrères qui réfutent avec force et inquiétude ce terme de militant. Et pourquoi? Ne peut-on pas être journaliste et militant, c’est-à-dire croire en une cause? Si la démarche est claire dès le départ alors il n’y a pas tricherie vis-à-vis du lecteur. Et souvent, celle-ci est claire dès les premières phrases voire même parfois dès que l’on tient le support entre ses mains, tactilement parlant. C’est certainement plus honnête que de faire croire à une quelconque neutralité, à une quelconque objectivité. Comme si celle-ci existait? A partir du moment où vous êtes un être humain conscient et réfléchi, vous devez avoir consciemment ou non une opinion et celle-ci ne peut être objective, puisqu’elle vous appartient. Par contre, vous pourrez l’avoir construit sur des bases équilibrées, à partir de plusieurs sources. Et aujourd’hui sur ces questions climatiques, c’est tout à fait possible. En dehors des médias que j’appellerai classiques, ces grands journaux de la presse écrite ou audio-visuels, il y a une nouvelle presse qui existe. Elle n’est pas très ancienne, mais pas si jeune que cela et surtout elle a de plus en plus pignon sur rue. Souvent faites par des hommes et des femmes issus de la presse classique, ces déçus ont créé des supports médiatiques ou intégrés des équipes pour parler de l’information autrement. On les retrouve le plus souvent sur le net. Ceux qui relèvent le défi du papier sont évidemment et plus souvent confrontés à des difficultés financières. Aujourd’hui, ceux qui refusent la parole des médias classiques qui se transforment souvent en porte-parole des élites politiques et financières peuvent trouver d’autres sources d’informations. Elles existent, il faut les chercher, ne pas en avoir peur, ne pas hésiter à les croiser entre elles, de comparer l’information. A nous de jouer si nous voulons être acteur de notre monde!
Là non plus ce n’est pas gagné, à en croire les résultats d’un dernier sondage où les Français estiment que ce sont surtout leurs élites qui doivent agir pour l’environnement. Ah bon? Et nous au quotidien, on ne peut rien faire? Évidemment si, et heureusement qu’ils sont de plus en plus nombreux à le savoir et à nous le dire.