On parle à l’heure actuelle de dix, seize voire dix-neufs morts du côté des membres de la flottille internationale chargée de l’aide destinée Ghaza, et de blessés graves côté israélien. Une flottille de huit bateaux avec en tout cinq-cents membres qui avaient décidé de défier les forces israéliennes en forçant le blocus que l’Etat hébreu impose à Ghaza.
Le gouvernement israélien de son côté n’avait pas fait mystère de sa stratégie et par la voix de son porte-parole des Affaires étrangères, Ygal Palmor avait déclaré : «Nous tenterons de les empêcher de s’approcher des côtes de la bande de Ghaza de manière pacifique, mais s’ils cherchent à passer en force, nous les bloquerons».
Des risques mal calculés
L’Etat hébreu prévoyait, si les bateaux refusaient de rebrousser chemin, de les arraisonner et les diriger vers le port israélien d’Ashdod, au sud de Tel-Aviv, avant d’interpeller les militants et de les renvoyer dans leur pays.
Mais que se cachait-il réellement derrière cette opération humanitaire ? s’agissait-il vraiment d’apporter aux Ghazzouis toute l’aide dont ils ont besoin ? rien n’est moins sûr, surtout après la déclaration fracassante de Madame Greta Berlin à l’AFP : « qu’il ne s’agissait pas d’une opération humanitaire mais bel et bien d’un acte de provocation visant à causer une confrontation avec l’armée israélienne » et sans doute de susciter une sympathie pour David au détriment de Goliath ?
Même si la réaction mondiale à l’égard de l’Etat hébreu est à la désapprobation, peut-être serait-il juste d’examiner les responsabilités des leaders de cette ONG qui n’ont pas hésité par volonté de théâtraliser au maximum leur action de mettre en péril la vie de leurs membres en leur faisant prendre des risques inconsidérés. A quel niveau dans l’échelle des responsabilités se situe la leur ?
Le gouvernement israélien de son côté n’avait pas fait mystère de sa stratégie et par la voix de son porte-parole des Affaires étrangères, Ygal Palmor avait déclaré : «Nous tenterons de les empêcher de s’approcher des côtes de la bande de Ghaza de manière pacifique, mais s’ils cherchent à passer en force, nous les bloquerons».
Des risques mal calculés
L’Etat hébreu prévoyait, si les bateaux refusaient de rebrousser chemin, de les arraisonner et les diriger vers le port israélien d’Ashdod, au sud de Tel-Aviv, avant d’interpeller les militants et de les renvoyer dans leur pays.
Mais que se cachait-il réellement derrière cette opération humanitaire ? s’agissait-il vraiment d’apporter aux Ghazzouis toute l’aide dont ils ont besoin ? rien n’est moins sûr, surtout après la déclaration fracassante de Madame Greta Berlin à l’AFP : « qu’il ne s’agissait pas d’une opération humanitaire mais bel et bien d’un acte de provocation visant à causer une confrontation avec l’armée israélienne » et sans doute de susciter une sympathie pour David au détriment de Goliath ?
Même si la réaction mondiale à l’égard de l’Etat hébreu est à la désapprobation, peut-être serait-il juste d’examiner les responsabilités des leaders de cette ONG qui n’ont pas hésité par volonté de théâtraliser au maximum leur action de mettre en péril la vie de leurs membres en leur faisant prendre des risques inconsidérés. A quel niveau dans l’échelle des responsabilités se situe la leur ?