Le bio, graine d’avenir
Légumes écologiques cultivés. Photo © Elina Mark
"L’agriculture biologique atteint un rythme de croissance historique en France". Cette phrase, qui résonne comme une petite victoire, a été prononcé par le groupement d’intérêt public du ministère de l’Agriculture et de l’Écologie.
En effet depuis la création de cette section en 2001 pour promouvoir ce type spécifique d’agriculture, le bio a su se développer avec un marché atteignant aujourd’hui les 5.5 milliards d’euros (+ 10% par rapport à 2014). Ces résultats font suite à une prise de conscience collective observée lors des dix dernières années, sur la consommation alimentaire. L’offre et la demande se sont accentuées, le pourcentage d’exploitation bio a augmenté de 104% entre 2007 et 2012. Les surfaces, elles, ont crû de 85% sur la même période.
En effet depuis la création de cette section en 2001 pour promouvoir ce type spécifique d’agriculture, le bio a su se développer avec un marché atteignant aujourd’hui les 5.5 milliards d’euros (+ 10% par rapport à 2014). Ces résultats font suite à une prise de conscience collective observée lors des dix dernières années, sur la consommation alimentaire. L’offre et la demande se sont accentuées, le pourcentage d’exploitation bio a augmenté de 104% entre 2007 et 2012. Les surfaces, elles, ont crû de 85% sur la même période.
Une popularité chiffrée
Selon le Baromètre Agence BIO/CSA2 paru en 2013, 71% des Français déclaraient privilégier les produits respectueux de l’environnement et/ou du développement durable lorsqu’ils effectuent leurs achats. À titre de comparaison, ils étaient 66% en 2011.
Plus qu’une simple mode, le bio réussit à s’imposer sur le long terme comme une nouvelle façon de penser sa façon de consommer la nourriture, en témoigne les récents chiffres. Plus sain pour soi-même, plus respectable pour notre terre, cette consommation à tout pour représenter l’identité des sociétés de demain. Certains nous diront même que manger c’est voter…
Plus qu’une simple mode, le bio réussit à s’imposer sur le long terme comme une nouvelle façon de penser sa façon de consommer la nourriture, en témoigne les récents chiffres. Plus sain pour soi-même, plus respectable pour notre terre, cette consommation à tout pour représenter l’identité des sociétés de demain. Certains nous diront même que manger c’est voter…