Photo (C) Ibrahim Chalhoub
Le couvent de St Antoine de Kozhaya continue d’être un lieu de pèlerinage fréquenté. Partiellement aménagé dans les grottes, le couvent de Saint-Antoine de Kozhaya (qui signifie « trésor de la vie » en syriaque) est l’un des plus importants monastères de la vallée de Kadisha. Adossée à la paroi rocheuse, une petite église, surmontée de trois clochers, est harmonieusement intégrée à la grotte, à partir de laquelle elle fut construite.
Au XVIe siècle, le couvent fut le siège de la première imprimerie du monde islamo-arabe (en caractères syriaques). Le tout premier ouvrage imprimé (entre le XVIe et le XVIIe siècle), était le Livre des Psaumes de David.
A gauche de l’entrée de la grotte s’ouvre une immense caverne dite « la grotte aux fous ». On y voit encore les chaînes avec lesquelles on attachait les « fous » ou les « possédés » en attente d’une guérison miraculeuse. En effet, saint Antoine passait pour avoir le pouvoir de rendre la raison à ceux qui l’avaient perdue. Les malades étaient enchaînés à l’autel, au fond de la grotte, tandis qu’un moine leur envoyait une savate à la tête, en criant « Satan, retire-toi ».
Découverte en photos ci-dessous.
Au XVIe siècle, le couvent fut le siège de la première imprimerie du monde islamo-arabe (en caractères syriaques). Le tout premier ouvrage imprimé (entre le XVIe et le XVIIe siècle), était le Livre des Psaumes de David.
A gauche de l’entrée de la grotte s’ouvre une immense caverne dite « la grotte aux fous ». On y voit encore les chaînes avec lesquelles on attachait les « fous » ou les « possédés » en attente d’une guérison miraculeuse. En effet, saint Antoine passait pour avoir le pouvoir de rendre la raison à ceux qui l’avaient perdue. Les malades étaient enchaînés à l’autel, au fond de la grotte, tandis qu’un moine leur envoyait une savate à la tête, en criant « Satan, retire-toi ».
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Photo (C) Ibrahim Chalhoub
Photo (C) Ibrahim Chalhoub