La 3ème édition de la foire humanitaire du livre organisée par l'école sous l'arbre de Paris en partenariat avec le Cameroun, s'est ouverte à Douala du 20 au 30 janvier dernier et s'est poursuivie dans les villes de Yaoundé et de Dschang avec plusieurs expositions de livres.
La salle des fêtes de Douala a connu en effet une affluence exceptionnelle à partir du 20 janvier, car elle accueille des visiteurs de différentes catégories sociales. On y retrouve, arpentant les rayons, élèves, étudiants, et professionnels de plusieurs milieux socio-professionnels.
La foire expose plus de 65 000 livres répartis sur divers rayons, entre autres livres de droit, de science politique, de médecine, d'économie, de comptabilité, d'informatique, de psychologie, de communication, de sociologie, de mathématiques et de physique. Des dictionnaires et encyclopédies y figurent aussi en bonne place, et on peut également y retrouver des documents relatifs à la religion et à l'histoire des États-Unis. Les élèves quant à eux, y trouvent des livres de mathématiques, de sciences physiques, de chimie, d'histoire, de géographie ainsi que des annales pour la préparation des examens de fin d'année sans oublier d'autres disciplines inscrites au programme des lycées et collèges.
Les prix des livres, à portée de toutes les bourses varient entre 500 et 7 000 CFA, selon le domaine, la qualité de l'ouvrage, de l'éditeur, et de la date d'édition. L'on peut ainsi voir des étudiants, des élèves et travailleurs entrer et sortir avec les bras chargés des livres qu'ils viennent tout juste d'acquérir.
La politique de vulgarisation du savoir que soutend cette action de l'école sous l'arbre de Paris donne l'occasion aux Camerounais de lire et de s'instruire grâce à l'acquisition des ouvrages dont les prix sont accessible sà tous.
La possibilité d'acheter, généralement offerte aux plus nantis, est ouverte pendant cette période aux amoureux du savoir et de la recherche. Cette initiative soutenue par certaines entreprises du secteur de la téléphonie mobile au Cameroun, démontre la volonté de l'État camerounais de combattre l'analphabétisme et la vie chère qui minent tous les domaines de la vie de la société.
Ce combat va plus loin et vise la mise en place d'un cadre adéquat pour l'éducation de la jeunesse camerounaise. Cependant, pour une meilleure efficacité, les caravanes de la foire du livre devraient étendre leur sphère d'action à toutes les villes abritant une université, à savoir Buéa, Ngaoundéré et Maroua.
La salle des fêtes de Douala a connu en effet une affluence exceptionnelle à partir du 20 janvier, car elle accueille des visiteurs de différentes catégories sociales. On y retrouve, arpentant les rayons, élèves, étudiants, et professionnels de plusieurs milieux socio-professionnels.
La foire expose plus de 65 000 livres répartis sur divers rayons, entre autres livres de droit, de science politique, de médecine, d'économie, de comptabilité, d'informatique, de psychologie, de communication, de sociologie, de mathématiques et de physique. Des dictionnaires et encyclopédies y figurent aussi en bonne place, et on peut également y retrouver des documents relatifs à la religion et à l'histoire des États-Unis. Les élèves quant à eux, y trouvent des livres de mathématiques, de sciences physiques, de chimie, d'histoire, de géographie ainsi que des annales pour la préparation des examens de fin d'année sans oublier d'autres disciplines inscrites au programme des lycées et collèges.
Les prix des livres, à portée de toutes les bourses varient entre 500 et 7 000 CFA, selon le domaine, la qualité de l'ouvrage, de l'éditeur, et de la date d'édition. L'on peut ainsi voir des étudiants, des élèves et travailleurs entrer et sortir avec les bras chargés des livres qu'ils viennent tout juste d'acquérir.
La politique de vulgarisation du savoir que soutend cette action de l'école sous l'arbre de Paris donne l'occasion aux Camerounais de lire et de s'instruire grâce à l'acquisition des ouvrages dont les prix sont accessible sà tous.
La possibilité d'acheter, généralement offerte aux plus nantis, est ouverte pendant cette période aux amoureux du savoir et de la recherche. Cette initiative soutenue par certaines entreprises du secteur de la téléphonie mobile au Cameroun, démontre la volonté de l'État camerounais de combattre l'analphabétisme et la vie chère qui minent tous les domaines de la vie de la société.
Ce combat va plus loin et vise la mise en place d'un cadre adéquat pour l'éducation de la jeunesse camerounaise. Cependant, pour une meilleure efficacité, les caravanes de la foire du livre devraient étendre leur sphère d'action à toutes les villes abritant une université, à savoir Buéa, Ngaoundéré et Maroua.