Ce document est publié à la veille d’un débat sur le Kosovo au sein du Conseil de sécurité des Nations unies, qui doit avoir lieu ce 29 août.
"Le fait que la MINUK n’ait pas enquêté sur des actes constituant des attaques systématiques et de grande ampleur contre des civils, voire des crimes contre l’humanité, a contribué au climat d’impunité qui prévaut désormais au Kosovo", a déploré Sian Jones, spécialiste du Kosovo à Amnesty International. "Il n’y a pas de prescription pour les crimes contre l’humanité. Ils doivent donner lieu à des enquêtes et les familles des personnes enlevées et tuées doivent recevoir des réparations. Il ne faut pas laisser les Nations unies fuir leurs responsabilités plus longtemps."
"Le fait que la MINUK n’ait pas enquêté sur des actes constituant des attaques systématiques et de grande ampleur contre des civils, voire des crimes contre l’humanité, a contribué au climat d’impunité qui prévaut désormais au Kosovo", a déploré Sian Jones, spécialiste du Kosovo à Amnesty International. "Il n’y a pas de prescription pour les crimes contre l’humanité. Ils doivent donner lieu à des enquêtes et les familles des personnes enlevées et tuées doivent recevoir des réparations. Il ne faut pas laisser les Nations unies fuir leurs responsabilités plus longtemps."