Centre Pompidou, Metz. Photo (c) Pauline Maheu-César
L’ouverture de ce lieu en 2010 a créé la surprise par son architecture originale et moderne. Ce musée national d’art moderne présente plus de 100.000 œuvres. Ce projet a pu être réalisé grâce à une collaboration, entre d’une part l’institution du Centre Pompidou de renommée internationale qui poursuit sa vocation de plateforme d’échange régionale et européenne et d’autre part celle des collectivités territoriales qui ont porté le projet depuis le début.
Depuis le 18 mars 2017, ce ne sont pas seulement des œuvres de Monet ou d’Émile Gallé que les visiteurs ont la possibilité de découvrir mais aussi "Jardin infini", la nouvelle exposition du centre Pompidou. Elle présente près de 300 œuvres de la fin du 19e siècle à nos jours, qu’il est possible de sentir, voir et toucher. Ces pièces sont pour la plupart contemporaines et se déclinent sous forme d’un monumental jardin expérimental.
L’œuvre la plus spectaculaire est sûrement celle du Léviathan Thot d'Ernesto Neto, un artiste brésilien qui a la singularité de travailler la pesanteur. L’artiste se confronte aux défis que lui posent les matériaux, l’espace et ce mélange entre la masse et la légèreté. Cette exposition résulte du conflit entre matière et gravité. L’œuvre est suspendue et prend la forme de la bête du livre de Job, créature anthropomorphique envisagé par Neto comme "un corps spatial".
Ces œuvres se déploient aussi en dehors du musée dans trois jardins de la ville de Metz.
Depuis le 18 mars 2017, ce ne sont pas seulement des œuvres de Monet ou d’Émile Gallé que les visiteurs ont la possibilité de découvrir mais aussi "Jardin infini", la nouvelle exposition du centre Pompidou. Elle présente près de 300 œuvres de la fin du 19e siècle à nos jours, qu’il est possible de sentir, voir et toucher. Ces pièces sont pour la plupart contemporaines et se déclinent sous forme d’un monumental jardin expérimental.
L’œuvre la plus spectaculaire est sûrement celle du Léviathan Thot d'Ernesto Neto, un artiste brésilien qui a la singularité de travailler la pesanteur. L’artiste se confronte aux défis que lui posent les matériaux, l’espace et ce mélange entre la masse et la légèreté. Cette exposition résulte du conflit entre matière et gravité. L’œuvre est suspendue et prend la forme de la bête du livre de Job, créature anthropomorphique envisagé par Neto comme "un corps spatial".
Ces œuvres se déploient aussi en dehors du musée dans trois jardins de la ville de Metz.