En réaction à l’exécution de Junya Hattori et Kyozo Matumura à Tokyo et Osaka, Roseann Rifz, responsable des projets spéciaux à Amnesty International a déclaré: "La décision des autorités japonaises de procéder à deux nouvelles exécutions est extrêmement regrettable."
Makoto Taki est le deuxième ministre de la Justice à autoriser des exécutions en 2012.
"Les dirigeants japonais préfèrent se réfugier derrière l’opinion publique plutôt que de faire preuve de courage politique et d’œuvrer à l’abolition du châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit que constitue la peine de mort."
Makoto Taki est le deuxième ministre de la Justice à autoriser des exécutions en 2012.
"Les dirigeants japonais préfèrent se réfugier derrière l’opinion publique plutôt que de faire preuve de courage politique et d’œuvrer à l’abolition du châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit que constitue la peine de mort."