Cette militante palestinienne des droits humains a été placée en résidence surveillée partielle le 4 juillet dans le but de l'empêcher de participer à des manifestations pacifiques, alors qu'elle attend d'être jugée ce 9 juillet.
"Il s'agit d'une campagne soutenue de harcèlement, la dernière d'une longue série de violations des droits humains ciblant Nariman Tamimi, sa famille et les habitants de son village. Ces restrictions arbitraires doivent être immédiatement levées et les charges abandonnées", a indiqué Philip Luther, directeur du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d'Amnesty International.
"Il s'agit d'une campagne soutenue de harcèlement, la dernière d'une longue série de violations des droits humains ciblant Nariman Tamimi, sa famille et les habitants de son village. Ces restrictions arbitraires doivent être immédiatement levées et les charges abandonnées", a indiqué Philip Luther, directeur du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d'Amnesty International.