Ce sondage, réalisé pour Amnesty International par RED C Research and Marketing, révèle que la majorité de la population en Irlande ignore que l'avortement constitue une infraction pénale. Une forte majorité est opposée aux sanctions pénales qu'encourent les femmes qui avortent, ou les médecins qui pratiquent un avortement.
À la question concernant la dépénalisation de l'avortement par le gouvernement irlandais, 67% des personnes interrogées répondent oui, et 25% non. 81% se prononcent en faveur d'un élargissement des motifs autorisant un accès légal à l'avortement en Irlande.
"Il est clair que l'opinion des Irlandais sur l'avortement a radicalement changé. Ils se montrent aujourd'hui globalement plus compréhensifs quant aux situations que les femmes traversent et estiment qu'elles ne doivent pas être traitées comme des criminelles parce qu'elles subissent un avortement", a déclaré Colm O’Gorman, directeur exécutif d’Amnesty International Irlande.
À la question concernant la dépénalisation de l'avortement par le gouvernement irlandais, 67% des personnes interrogées répondent oui, et 25% non. 81% se prononcent en faveur d'un élargissement des motifs autorisant un accès légal à l'avortement en Irlande.
"Il est clair que l'opinion des Irlandais sur l'avortement a radicalement changé. Ils se montrent aujourd'hui globalement plus compréhensifs quant aux situations que les femmes traversent et estiment qu'elles ne doivent pas être traitées comme des criminelles parce qu'elles subissent un avortement", a déclaré Colm O’Gorman, directeur exécutif d’Amnesty International Irlande.