Une troisième citoyenne américaine arrêtée avec eux, Sarah Shourd, a été libérée en septembre 2010 après le versement d'une caution de 500 000 dollars américains.
"Les autorités iraniennes détiennent ces hommes depuis deux ans en les soumettant à une procédure judiciaire qui est loin d'être conforme aux normes internationales d'équité des procès. Il faut mettre fin maintenant à cette parodie de justice ; il apparaît clairement désormais, que le maintien en détention de ces deux ressortissants américains par les autorités iraniennes ne repose sur aucun fondement légal et ceux-ci doivent donc être libérés et autorisés à quitter le pays", a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
Pendant leur deux années de détention à la prison d'Evin à Téhéran, Shane Bauer et Josh Fattal n'ont eu le droit qu'à une brève visite de leur famille, lorsque leurs mères sont venues les voir en Iran en mai 2010. Ils n'ont pas se faire aider de leur avocat dans de bonnes conditions et n'ont eu qu'un accès limité à l'aide consulaire.
Les autorités iraniennes ont ignoré les appels que leur ont adressés la communauté internationale et les familles de ces deux hommes pour demander leur libération, et le président Mahmoud Ahmadinejad a laissé entendre que les deux randonneurs étaient détenus pour servir de monnaie d'échange dans les négociations entre l'Iran et les États-Unis.
À plusieurs reprises, Amnesty International a fait savoir aux autorités iraniennes qu'elle était préoccupée par le traitement réservé à Shane Bauer et Josh Fattal et demandé publiquement leur remise en liberté.
"Les autorités iraniennes détiennent ces hommes depuis deux ans en les soumettant à une procédure judiciaire qui est loin d'être conforme aux normes internationales d'équité des procès. Il faut mettre fin maintenant à cette parodie de justice ; il apparaît clairement désormais, que le maintien en détention de ces deux ressortissants américains par les autorités iraniennes ne repose sur aucun fondement légal et ceux-ci doivent donc être libérés et autorisés à quitter le pays", a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
Pendant leur deux années de détention à la prison d'Evin à Téhéran, Shane Bauer et Josh Fattal n'ont eu le droit qu'à une brève visite de leur famille, lorsque leurs mères sont venues les voir en Iran en mai 2010. Ils n'ont pas se faire aider de leur avocat dans de bonnes conditions et n'ont eu qu'un accès limité à l'aide consulaire.
Les autorités iraniennes ont ignoré les appels que leur ont adressés la communauté internationale et les familles de ces deux hommes pour demander leur libération, et le président Mahmoud Ahmadinejad a laissé entendre que les deux randonneurs étaient détenus pour servir de monnaie d'échange dans les négociations entre l'Iran et les États-Unis.
À plusieurs reprises, Amnesty International a fait savoir aux autorités iraniennes qu'elle était préoccupée par le traitement réservé à Shane Bauer et Josh Fattal et demandé publiquement leur remise en liberté.