"La prise de Mossoul par des groupes d'opposition armés est une évolution profondément inquiétante, qui a de graves conséquences pour les droits humains en Irak. Les deux camps doivent veiller à ce que les civils ne paient pas le tribut le plus élevé à ces violences, à l'heure où les combats se poursuivent pour le contrôle de la ville", a déclaré Said Boumedouha, directeur adjoint du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
Les autorités irakiennes ont annoncé mardi 10 juin que les forces de sécurité avaient perdu le contrôle de Mossoul, la deuxième plus grande ville du pays. Celle-ci est tombée aux mains de groupes d'opposition armés appartenant à l'État islamique en Irak et au Levant (EIIL), après des affrontements armés les 7 et 8 juin.
Les violences récentes ont déjà forcé près d'un demi-million de personnes à fuir Mossoul et les alentours pour gagner des régions voisines, selon des chiffres rendus publics par l'Organisation Internationale pour les Migrations le 10 juin.
Les autorités irakiennes ont annoncé mardi 10 juin que les forces de sécurité avaient perdu le contrôle de Mossoul, la deuxième plus grande ville du pays. Celle-ci est tombée aux mains de groupes d'opposition armés appartenant à l'État islamique en Irak et au Levant (EIIL), après des affrontements armés les 7 et 8 juin.
Les violences récentes ont déjà forcé près d'un demi-million de personnes à fuir Mossoul et les alentours pour gagner des régions voisines, selon des chiffres rendus publics par l'Organisation Internationale pour les Migrations le 10 juin.