En réaction, Josef Benedict, directeur des campagnes pour l’Asie du Sud-Est et le Pacifique d'Amnesty International, a déclaré: "Ces attaques manifestent un mépris flagrant du droit à la vie. Ce n'est hélas pas la première fois que les Indonésiens voient leurs proches périr dans de telles attaques perpétrées par des groupes extrémistes, qui font un carnage pour faire progresser leurs vils objectifs.
Les autorités indonésiennes doivent mener dans les meilleurs délais une enquête approfondie et impartiale sur ces attaques et veiller à ce que tous ceux qui les ont préparées et perpétrées soient jugés dans le cadre de procès équitables, sans encourir la peine de mort.
Afin de briser le cycle de la violence, les autorités doivent prendre des mesures proportionnées et légales face à ces homicides illégaux, et non lancer une répression par les forces de sécurité, dont le bilan en matière de droits humains est au mieux inégal. L'Indonésie fait face depuis longtemps à l'extrémisme violent et les attentats perpétrés aujourd’hui ne doivent pas servir de prétexte pour restreindre les libertés au nom de la sécurité".
Les autorités indonésiennes doivent mener dans les meilleurs délais une enquête approfondie et impartiale sur ces attaques et veiller à ce que tous ceux qui les ont préparées et perpétrées soient jugés dans le cadre de procès équitables, sans encourir la peine de mort.
Afin de briser le cycle de la violence, les autorités doivent prendre des mesures proportionnées et légales face à ces homicides illégaux, et non lancer une répression par les forces de sécurité, dont le bilan en matière de droits humains est au mieux inégal. L'Indonésie fait face depuis longtemps à l'extrémisme violent et les attentats perpétrés aujourd’hui ne doivent pas servir de prétexte pour restreindre les libertés au nom de la sécurité".