Selon des informations provenant des médias, Muhammad Abdul Hafeez, âgé de 44 ans, a été passé par les armes dimanche à l’aube. Cette exécution est la cinquième à avoir lieu en Indonésie depuis que le pays a repris les exécutions en mars 2013, après quatre années d’interruption. Cinq autres condamnés seraient sur le point d’être exécutés.
Papang Hidayat, spécialiste de l’Indonésie à Amnesty International, a fait le commentaire suivant: "Cette dernière exécution confirme la tendance rétrograde de l’Indonésie à procéder aux exécutions en secret. L’absence complète de transparence est non seulement dévastatrice pour les condamnés et leurs proches, mais elle empêche aussi les appels de dernière minute en faveur d’un sursis. Ces agissements vont à l’encontre des engagements du gouvernement indonésien en faveur du respect des droits humains, et nous demandons instamment aux autorités de ne procéder à aucune nouvelle exécution."
Papang Hidayat, spécialiste de l’Indonésie à Amnesty International, a fait le commentaire suivant: "Cette dernière exécution confirme la tendance rétrograde de l’Indonésie à procéder aux exécutions en secret. L’absence complète de transparence est non seulement dévastatrice pour les condamnés et leurs proches, mais elle empêche aussi les appels de dernière minute en faveur d’un sursis. Ces agissements vont à l’encontre des engagements du gouvernement indonésien en faveur du respect des droits humains, et nous demandons instamment aux autorités de ne procéder à aucune nouvelle exécution."