Balwant Singh Rajoana devait être pendu samedi 31 mars dans l'État du Pendjab, mais son exécution a été différée en attendant l'examen d'un recours formé par le gouvernement du Pendjab auprès de Pratibha Patil, la présidente indienne.
"La décision du gouvernement indien d'octroyer un sursis à Balwant Singh est positive. Son exécution aurait été la première en Inde depuis huit ans et aurait fait dévier le pays de son alignement sur la tendance mondiale au refus de la peine de mort", a indiqué Bikramjeet Batra, conseiller politique d'Amnesty International. "Ceci doit constituer pour les autorités indiennes une première étape dans leur évolution vers l'abolition de cet acte inhumain : elles doivent décréter un moratoire officiel sur les exécutions, commuer toutes les condamnations à mort et, pour finir, abolir la peine de mort pour tous les crimes."
Balwant Singh a été déclaré coupable en 2007 de l’assassinat de l’ancien Premier ministre du Pendjab Beant Singh en 1995. Sa condamnation à mort a été confirmée par la haute cour du Pendjab et de l’Haryana en octobre 2010.
"Les autorités indiennes doivent stopper l’exécution de Balwant Singh Rajoana et instaurer un moratoire officiel sur les exécutions dans le pays", avait écrit Amnesty International dans une lettre ouverte au Premier ministre indien Manmohan Singh.
"Si elle reprend les exécutions après une interruption de huit ans, l’Inde irait à contre-courant de la tendance régionale et mondiale en faveur de l’abolition de la peine de mort. Amnesty International exhorte le Premier ministre Manmohan Singh à stopper l’exécution de Balwant Singh et à établir un moratoire, en vue d’abolir la peine de mort en Inde pour tous les crimes", a déclaré Bikramjeet Batra.
Amnesty International s’oppose à la peine de mort en toutes circonstances, sans exception. C’est un châtiment des plus cruels, inhumains et dégradants.
"La décision du gouvernement indien d'octroyer un sursis à Balwant Singh est positive. Son exécution aurait été la première en Inde depuis huit ans et aurait fait dévier le pays de son alignement sur la tendance mondiale au refus de la peine de mort", a indiqué Bikramjeet Batra, conseiller politique d'Amnesty International. "Ceci doit constituer pour les autorités indiennes une première étape dans leur évolution vers l'abolition de cet acte inhumain : elles doivent décréter un moratoire officiel sur les exécutions, commuer toutes les condamnations à mort et, pour finir, abolir la peine de mort pour tous les crimes."
Balwant Singh a été déclaré coupable en 2007 de l’assassinat de l’ancien Premier ministre du Pendjab Beant Singh en 1995. Sa condamnation à mort a été confirmée par la haute cour du Pendjab et de l’Haryana en octobre 2010.
"Les autorités indiennes doivent stopper l’exécution de Balwant Singh Rajoana et instaurer un moratoire officiel sur les exécutions dans le pays", avait écrit Amnesty International dans une lettre ouverte au Premier ministre indien Manmohan Singh.
"Si elle reprend les exécutions après une interruption de huit ans, l’Inde irait à contre-courant de la tendance régionale et mondiale en faveur de l’abolition de la peine de mort. Amnesty International exhorte le Premier ministre Manmohan Singh à stopper l’exécution de Balwant Singh et à établir un moratoire, en vue d’abolir la peine de mort en Inde pour tous les crimes", a déclaré Bikramjeet Batra.
Amnesty International s’oppose à la peine de mort en toutes circonstances, sans exception. C’est un châtiment des plus cruels, inhumains et dégradants.