"L’Inde doit immédiatement bloquer l’exécution imminente de quatre prisonniers dont les recours en grâce, ultime recours en appel dans le système judiciaire indien, ont été rejetés par le président Pranab Mukherjee", a déclaré Amnesty International.
Cette décision du président est intervenue quelques jours seulement après la mise à mort par pendaison d’Afzal Guru, la deuxième exécution en Inde en moins de trois mois, après une interruption de huit ans.
"Ce gouvernement a ôté la vie à un plus grand nombre de condamnés depuis novembre 2012 qu’au cours des 10 dernières années. Poursuivre sur un mode aussi régressif serait véritablement honteux", a indiqué G. Ananthapadmanabhan, directeur exécutif d’Amnesty International Inde.
Cette décision du président est intervenue quelques jours seulement après la mise à mort par pendaison d’Afzal Guru, la deuxième exécution en Inde en moins de trois mois, après une interruption de huit ans.
"Ce gouvernement a ôté la vie à un plus grand nombre de condamnés depuis novembre 2012 qu’au cours des 10 dernières années. Poursuivre sur un mode aussi régressif serait véritablement honteux", a indiqué G. Ananthapadmanabhan, directeur exécutif d’Amnesty International Inde.