Berta Cáceres. Photo (c) Goldman Environmental Prize
Berta Cáceres, dirigeante et cofondatrice du Conseil civique d'organisations populaires et indigènes du Honduras (COPINH), a été abattue très tôt jeudi 3 mars 2016 à son domicile de la ville de La Esperanza, dans la province d’Intibucá (ouest du pays).
"L’homicide de Berta Cáceres était une tragédie annoncée. Elle était victime depuis des années d’une campagne soutenue de harcèlement et d’intimidation visant à l’empêcher de défendre les droits de communautés autochtones", a déclaré Erika Guevara-Rosas, directrice pour la région des Amériques à Amnesty International. "La mort de Berta Cáceres aura un impact dévastateur pour de nombreux militants organisations défendant les droits humains, comme Amnesty International, qui ont travaillé à ses côtés afin que les droits de certaines des personnes les plus vulnérables des Amériques soient protégés."
Le COPINH avait récemment protesté contre la construction du barrage d’Agua Zarca, dans la municipalité de Río Blanco.
"L’homicide de Berta Cáceres était une tragédie annoncée. Elle était victime depuis des années d’une campagne soutenue de harcèlement et d’intimidation visant à l’empêcher de défendre les droits de communautés autochtones", a déclaré Erika Guevara-Rosas, directrice pour la région des Amériques à Amnesty International. "La mort de Berta Cáceres aura un impact dévastateur pour de nombreux militants organisations défendant les droits humains, comme Amnesty International, qui ont travaillé à ses côtés afin que les droits de certaines des personnes les plus vulnérables des Amériques soient protégés."
Le COPINH avait récemment protesté contre la construction du barrage d’Agua Zarca, dans la municipalité de Río Blanco.